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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 00:17

 

Ceux qui me connaissent ne seront pas étonnés.

 

Les autres peut-être davantage.

 

Dalida

 

Cet article "hors mes pages cinéma" qui revient chaque année 

en hommage à Dalida décédée le 3 mai 1987.

***** ******

Tout Artiste peut être critiquable.

.

La Femme qu'elle était, reste à mes yeux, irréprochable.

 

"On ne doit pas nous voler notre propre mort, car elle fait partie de notre vie,

il est donc important de vivre aussi ce moment"  Dalida.

 

1963.

 

Nous dansions déjà sur les musiques des Beatles.

 

Il n'en est pas moins vrai que Dalida était bien présente. Elle recevait, cette année là, "l'Oscar Mondial du Juke box", pour l'artiste la plus jouée dans les juke boxes.

 

Premières amours. L'adolescence. La joie et la musique. Des souvenirs et toutes mes pensées pour celles et ceux qui ne sont plus là pour l'écouter.

 

 

Je suis arrivé à Paris en 1968. Le mois de mai résonnait de tous ces évènements que nous vivions dans une grande euphorie. Une ère nouvelle qui paraissait prometteuse avec l'impression de rendre tous nos espoirs accessibles. Je commençais ma vie d'adulte, laissant derrière moi une enfance provinciale.

 

J'allai brûler ces années dans la joie de vivre, les fêtes et une grande liberté.  Tout paraissait facile.

 

Certaines rencontres m'ont plongé dans l'univers du cinéma, d'autres dans celles du music-hall.

 

Cette page pour Dalida.

 

fan59Je garde dans ma mémoire de grands et  beaux souvenirs liés à sa rencontre.

 

D'un premier Olympia en 1971 et tant d'autres qui suivront.

Des tournées en province.

Du studio 102, de feu l’O.R.T.F., dans lequel la productrice Lela Milcic rencontrait les plus grandes difficultés pour calmer l'impatience bruyante des fans assemblés, dans l'attente de leur idole.

Aux spectacles à l’étranger.   

 

 

Des studios d’Europe 1,  quand elle était l'invitée de Jacques Ourevitch, au Pavillon Baltard ou encore  au studio Gabriel en 1983.

Les souvenirs se bousculent.

 

Dalida-copie-2Je n’ai rien oublié de sa grande gentillesse, de son sourire éclatant, de cette incroyable aura qui émanait d'elle, dans la vie de tous les jours ou sur scène.

 

Nombre de récalcitrants tombaient sous le charme, et se rangeaient du côté de ceux qui applaudissaient et scandaient son nom dès les premières mesures de l’orchestre qui précédaient son entrée en scène.

 

 

 

 

Premier grand souvenir. L’ Olympia 1971.  

 

 

Dalida portait à l’époque des robes de scène longues et blanches signées par Pierre Balmain. Simplicité et élégance extrême.

 

 

Dalida Olympia 1971 Olympia, 23 novembre 1971.

 

Il fallait ruser pour obtenir des places, ou tout simplement avoir les bonnes relations.

 

Soir après soir, devant une salle comble, le triomphe était total.

 

Dalida Olympia 71

 

Je lui dois également de belles rencontres. Amitiés. Plus encore. Nous partagions tous ensemble les joies d’une jeunesse qui avait vécu mai 68, sans crainte du lendemain car nous connaissions le plein emploi.

 

La vie s'annonçait sous les meilleurs auspices. 

 

 

Dalida OlympiaSans être riches, nous profitions largement des plaisirs qu’offrait la capitale.

 

Beaucoup de mes amis sont partis, Jean François, Martine, Margot, Michel, Patrick, Julien. De la bande indissociable que nous formions à l'époque, nous ne sommes plus très nombreux à pouvoir nous en souvenir aujourd'hui.

 

Nous courions d'un endroit à l'autre. Tant d’adresses fameuses à l’époque dont il ne reste aujourd’hui que de doux souvenirs.

Sur la Butte Montmartre. En haut des marches de la rue Tholozé, à l’angle de la rue Lepic. Un restaurant qui voyait à l’époque défiler tout ce que Paris comptait de célébrités. Endroit convivial et sans prétentions, elle y avait sa table.

 

Les années passent et c’est au "Bistrot du Port", Quai Montebello, que nous nous rendions. Il y a eu plus tard cette merveilleuse auberge à Nerville La Forêt, "Les Quatre saisons". Deux endroits tenus par un ami de Dalida. Gérard Pédron.

 

Ou encore cet incroyable "Jardin du Louvre" place du Palais Royal dans lequel le même Gérard recevait, soir après soir, tous ses amis artistes.

 

Nous sommes finalement remontés sur la Butte qu’elle n’a jamais quittée.

Deux autres de ses grands et fidèles amis, l’accueillaient dans leur nouveau restaurant. "Le Moulin de la Galette"

 

Entourée de ses proches, de ses amies, je pense entre autres à Anouk Aimée, on l’y voyait souvent, toujours discrète, élégante et agréable. 

 

Dalida continuait à éblouir le monde. Espagne, Argentine, Japon, Liban, Canada, Brésil, Belgique, Turquie, Jordanie, New York, Pologne, Egypte, Allemagne et les dernières représentations publiques dans le théâtre Antique d’Aspendos en Turquie. 

 

 

Plus de 125 millions de ses disques ont été vendus à travers le monde. Première chanteuse à recevoir un disque d'or pour Bambino. Des dizaines d'autres suivront.

 

Première aussi à recevoir un disque de platine en 1964 et un disque de diamant en 1981, créé spécialement pour elle.

.

Dalida a reçu deux fois l'Oscar Mondial du Succès du disque en 1963 et en 1974, ainsi que le prix de l'Académie du Disque français, pour Il venait d'avoir 18 ans en 1975.

 

À partir de 1975, Dalida devient la reine du disco et du show à l'américaine.

 

Elle est alors mise en scène par de fameux chorégraphes, ses robes font rêver toutes les femmes, ses jambes font rêver les hommes.

 

"Dalida savait parfaitement habiller son corps à la ville et à la scène. Au cours de sa carrière, elle a toujours choisi des couturiers et des costumiers qui convenaient à son style, en accord avec les critères de la mode quand elle ne les créait pas. Formes et matières de ses tenues sublimaient son corps et avantageaient la danse qu'elle pratiquait dans ses spectacles. Tous ses vêtements, comme ses archives, écrites, iconographiques, cinématographiques et sonores, ont été conservés par son frère, Orlando, qui veille sur sa mémoire. Précieux pour l'histoire de la Diva, star internationale, pour l'histoire du spectacle et de la mode, ce fonds est aussi un témoignage inestimable sur l'histoire de la société dans ces années de profonde mutation."

 

"À partir de 1978, Dalida fait dessiner ses tenues de scène par le costumier Michel Fresnay. Elles sont somptueuses, brodées et pailletées, d'un grand art de couture. En 1980, le show du Palais des Sports reste le summum en matière de féerie vestimentaire. Les tenues sont toutes plus spectaculaires les unes que les autres. Michel Fresnay et la couturière Mine Barral Vergès, qui réalise toutes les tenues de scène du Palais des Sports, ainsi que les robes de show des émissions télévisées des Carpentier, font porter à Dalida des ensembles très colorés, des jaunes, rouges, fuchsia ou or qui tranchent avec le reste de ses habits. Tout est conçu pour que le vêtement n'entrave pas le mouvement rapide des jambes et du corps tout entier. Chaque pièce unique est un modèle du genre qui demandait au moins 300 heures de travail."

 

Une exposition "Vestiaire de Divas, de Maria Callas à Dalida"

s'est tenue du Du 5 juin au 31 décembre 2010  au Centre national du costume de scène et de la scénographie à Moulins. Pour visualiser un extrait de l'exposition, cliquez ICI.

 

Dalida 2

 

Dalida a refusé, à deux reprises en 1958 et 1978, un contrat exclusif avec les États-Unis, ce qui entrava fatalement sa carrière américaine, elle obtint toutefois une ovation mémorable au Carnegie Hall de New-York en décembre 1978 et au Shrine Auditorium de Los Angeles les 24 et 25 octobre 1986.  

 

Il serait trop long d'énumérer les récompenses multiples et prestigieuses qu'elle a reçues dans le monde entier.

 

Dalida reste à ce jour l'artiste la plus récompensée du show-biz.

 

Elle a été la première femme à se produire au Palais des Sports de Paris. Charles Trenet l'avait surnommée "la pharaonne de la chanson".

 

Dalida avait refusé d’être la Marianne de la République en 1981, de la même façon elle n’acceptera pas la Légion d’Honneur en 1984.

 

Du caractère, elle en avait, aussi !

 

Portée par l'amour des autres, elle a  toujours su faire preuve d'un grand altruisme.

 

 

Militante et engagée, Dalida supportait de nombreuses causes, des radios libres. (Elle était la marraine de NRJ à ses débuts). Et l'une des premières à s'engager aux côtés de son amie Line Renaud pour la lutte contre le sida, sans oublier les droits des homosexuels.

 

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La vie passait dans l’insouciance qui était la nôtre à cette époque, malgré le fléau qui progressait et allait ravager notre jeunesse. La musique accompagnait toujours la danse et la fête restait joyeuse jusqu’au bout de la nuit.

Je ne dis pas que c’était mieux avant.

C’était différent.

Je reconnais juste cette immense chance qui a été la mienne.

 

Pour lui dire toute ma gratitude, les mots ne suffiraient pas.

 

 

Alors juste … Merci.

 

 .

Vingt ans après sa mort le 3 mai 1987, Paris rend hommage à la chanteuse  en présentant images et documents inédits.

 

"Dalida, Paris pour destin" à l’Hôtel de Ville de Paris du 11 Mai au 8 Septembre 2007

 

Pour visualiser un extrait de l'exposition cliquez ICI !

 

 

Buste Dalida par Aslan

 

Au cœur de Montmartre qu'elle affectionnait, à l'angle des rues de l'Abreuvoir et Girardon, une petite place porte son nom.

 

Chaque année, plusieurs milliers de curieux viennent y voir son buste en bronze signé par le sculpteur Aslan, installé en 1997, à l'occasion du 10ème anniversaire de sa disparition.

 

 

La vie de Dalida a fait l'objet d'un téléfilm en deux parties

diffusé le 2 et le 3 mai 2005 sur France 2.

 

Téléfilm sur DalidaRéalisé par Joyce Buñuel

 

avec Sabrina Ferilli dans le rôle titre.

avec, entre autres, Charles Berling, Michel Jonasz , Christophe Lambert

 

 

 

Après Claude François ou Serge Gainsbourg,

c'est au tour de Dalida d'être à l'honneur au cinéma.

 

Sortie en salles le 11 janvier 2017 

 

Dalida

 

Réalisé par  Lisa Azuelos


Avec Sveva Alviti,

Riccardo Scamarcio, Jean-Paul Rouve,

Nicolas Duvauchelle, Niels Schneider, Vincent Perez, Patrick Timsit
 

Dalida et le cinéma ...

 


Dalida - Aux César 1987 couleurdefrance2007

Le masque de Toutankhamon Réalisé par Marc de Gastyne en 1954

 

Dalida---Le-Masque-de-Toutankhamon.gif

 

 
Dalida y fait une courte apparition dans laquelle le réalisateur lui confie le rôle une ténébreuse espionne qui doit séduire Gil Vidal lors d'une mémorable danse des sept voiles.
 
Dalida-1.jpg.Dalida-2.jpg
.
Dalida---Sigara-Wel-Kas.jpg Un verre, une cigarette Réalisé par  Niazi Mostafa en 1954
 

 

 

 

 

 

 

 

Brigade des mœurs de Maurice Boutel en 1958

 

Aux côtés de Eddie Barclay, Jean Tissier, Fernand Sardou, Pauline Carton
.
La traite des blanches vers les harems d'Orient sévit dans une boite de nuits Parisiennes, ou le chef d'orchestre Eddy Barclay et Dalida y jouent leur propre rôle !
L'excellent Jean Tissier, lui est un ignoble rabatteur.
Rapt-au-deuxieme-bureau---Dalida.jpg Rapt au deuxième bureau Réalisé par Jean Stelli en 1958
Aux côtés de Franck Villard, Danielle Godet, Véra Valmont, Georges Lannes
.
Un agent du deuxième bureau, prend la place de l'ingénieur Lerins que les truands Darano et Wilbur, veulent enlever. Or, Wilbur est un tueur cruel et Véra, jeune mannequin et soeur de Lerins, est mélée à l'histoire... Dans ce polar Dalida tiens le rôle d'une chanteuse de cabaret et d'une mystérieuse espionne !
 
Parlez-moi d'amour Réalisé par Georges Simonelli en 1960 Parlez-moi-d-amour---Dalida.jpg
Aux côtés de Jacques Sernas, Raymond Bussières
.
Deux détectives New-Yorkais sont engagés pour retrouver une jeune Italienne inconnue qui a hérité d'une fortune considérable et ne le sait pas encore. Celle-ci se nomme Laura Pizani et, en fait d'adresse, le signalement précise qu'elle possède trois grains de beauté au bas du dos ! À Naples Laura est signalée. Les deux détectives vont rencontrer Moika (Dalida) une superbe gitane qui va les aider dans leur recherche.
 

.

 

 

L-inconnue-de-Hong-Kong.jpg L'Inconnue de Hong Kong
Réalisé par  J.  Poitrenaud en 1963
Aux côtés de  Serge Gainsbourg, Philippe Nicaud, Tania Beryl
.
Deux artistes de cabaret, entraînés malgrés eux dans un trafic de diamants, découvrant l'enfer de Hong Kong.
 
Ménage à l'italienne Réalisé par Franco Indovini en 1965 Menage-a-l-Italienne.jpg
avec Ugo Tognazzi
 
Ugo Tognazzi, le Don-Juan de ces dames, dans cette comédie, fait rêver toutes ses maîtresses en leurs promettant monts et merveilles, Dalida l'une d'entres elles va succomber au charme de ce beau baratineur !
 

 

 

 

 

Io-ti-Amo.jpg Io ti amo Réalisé par Antonio Margheriti en 1968
Aux côtés de Alberto Lupo, Turi Campochiaro, Sheyla Rozin, Gioia Desideri,
 
Lors de ses voyages le prince Tancredi, un artiste peintre est attiré par Judy (Dalida), une hôtesse de l'air à laquelle il propose de poser pour lui. La jeune femme accepte mais n'hésite pas lui faire quelques critiques sur son travail. Séduit par sa franchise, Tancredi tombe amoureux. L'amourette se transforme rapidement en passion, mais de nombreux obstacles se dressent sur la route des deux amants...
Comme sur des roulettes Réalisé par  Nina Companez en 1977 Comme-sur-des-roulettes.jpg
 
Une comédie dans laquelle Dalida joue son propre rôle.
Dalida-pour-toujours.jpgDalida pour toujours 
Documentaire, réalisé en 1977 par de Michel Dumoulin
 
Du Caire à Paris, ce film tourné en plus de trois ans présente Dalida au quotidien. A travers ses chansons, ses galas, ses séances d'enregistrements, mais aussi au gré des tranches de vies saisies par Michel Dumoulin, nous découvrons la star sous les feux des projecteurs, mais aussi la femme dans ses moments d'intimité. Dalida nous ouvre les portes de sa vie, chez elle à Paris, mais aussi en Corse, et même en Egypte : de retour sur sa terre natale après 20 ans d'absence, elle évoque ses souvenirs de jeunesse, retrouvant la maison et l'école de son enfance. Au fil des chansons défile la vie de l'artiste. Il suffit d'un refrain, d'un couplet, parfois d'un simple mot pour avoir l'impression de mieux la connaître. Dalida reste une idole au succès jamais démenti. Sans doute est-elle la dernière véritable star de la chanson française. Ce film nous en offre un portrait inédit : attachante, tendre, simple, habitée d'une incroyable joie de vivre.
.

Dalida fut une aussi une grande actrice dans un film d’auteur. Une performance qui lui a valu d'être unanimement saluée par la critique.

 
Le sixième jour - Affiche Le Sixième Jour Réalisé par  Youssef Chahine en 1986
 
Dalida-3.jpg
Depuis plusieurs années, un grand nombre de réalisateurs font appel
aux enregistrements de Dalida pour avoir
une ou plusieurs chansons dans la bande son.
 
Entre autres,  liste non exhaustive :
 
La Triche  Réalisé par Yannick Bellon en 1990
Hors la vie Réalisé par Maroun Bagdadi en 1990
Mina Tannenbaum Réalisé par Martine Dugowson en 1993
Gazon Maudit Réalisé par Alain Chabat en 1994
Pédale Douce Réalisé par Gabriel Aghionen 1995
Un air de famille Réalisé par Agnès Jaoui en 1996
On connaît la chanson Réalisé par Alain Resnais en 1996
Mémoires d'immigrés Réalisé par Yamina Benguigui en 1997 
Recto Verso Réalisé par Jean Marc Longwal en 1998
Un pont entre deux rives Réalisé par Gérard Depardieu en 1999
Mauvais Genre Réalisé par Franc!s Girod en 2000
Absolument fabuleux Réalisé par Gabriel Aghion en 2001
C'est la vie Réalisé par Jean Pierre Ameris en 2001
8 Femmes Réalisé par François Ozon en 2002
L'Adversaire Réalisé par Nicole Garcia en 2002
Le Coeur des hommes Réalisé par Marc Esposito en 2003
L'un reste l'autre part Réalisé par Claude Berri en 2005
OSS 117, Le Caire Nid d'Espion Réalisé par Michel Hazanavicius en 2005
Michou d'Auber Réalisé par Thomas Gilou en 2005
Mesrine : L'instinct de mort Réalisé par  Jean-Francois Richet en 2007
Les amours imaginaires Réalisé par  Xavier Dolan en 2010
Gigola Réalisé par  Laure Charpentier en 2011
Les femmes du 6e étage Réalisé par Philippe Le Guay en 2011
Le Skylab Réalisé par Julie Delpy en 2011
3 femmes en colère. Téléfilm. Réalisé par Christian Faure en 2012
Apprenti Gigolo "Fading Gigolo". Réalisé par John Tarturro en 2013

 

Dalida.-C-etait-en-mai.-Un-Samedi-de-David-Lelait-Helo.gif

 

Plus fort qu'un simple hommage.

 

"C'était en mai, un samedi" un livre de David Lelait-Helo paru chez Anne Carrière.

 

Dans ce  roman, l'écrivain imagine les deux dernières heures de la vie de Dalida au travers d'une conversation téléphonique entre deux femmes que tout sépare.

 

Un beau livre, qui est, pour beaucoup, doublement émouvant.

commentaires

G
Quel magnifique article. Merci
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C
je viens de découvrir votre blog, cette page sur Dalida. Je n'étais pas née quand elle est morte et pourtant elle me fascine, je connais ses chansons, vu ses films, j'ai tous ses dvd. merci merci merci
Répondre
A
bonsoir, j'ai découvert votre blog par hasard et cet article me touche beaucoup. je n'ai jamais vu Dalida sur scène, en vous lisant je le regrette mais j'avais 10 ans quand elle est morte vous lui rendez un très bel hommage
Répondre
D
Bonsoir Alain, merci pour cet hommage d'une chanteuse qui a marqué son époque. Elle avait une voix caractéristique inoubliable. Bonne soirée.
Répondre
A
<br /> Un très bel hommage à une femme que je n'ai pas connue mais que j'aimais toujours écouter et voir à la télévision ou en disque car je n'ai pas eu l'opportunité de l'admirer sur scène. A cette<br /> époque, j'habitais Annecy et je venais d'avoir mon premier enfant, ce qui ne facilitait guère les déplacements vers la capitale.<br /> <br /> <br /> Elle était belle et élégante et jouait avec beaucoup de féminité de sa somptueuse chevelure.<br />
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R
<br /> une immense artiste, je comprends pourquoi tu l'aimes<br />
Répondre
E
<br /> Alors moi j'avoue que je ne la connaissais pas du tout. Oui, je savzis qui elle était, et comment elle chantait, à quoi elle ressemblait, bien entendu. Mais je n'ai jamais suivi les modes<br /> musicales, pas par snobisme mais simplement parce que je ne m'y intéressais pas trop. C'est toujours pareil aujourd'hui. Mais j'ai ressenti une tristesse profonde, pas intime mais profonde, lors<br /> de son suicice car qu'une femme comme elle l'ait accompli y donnait une dimension nouvelle de la solitude...<br /> <br /> <br /> Merci de l'évoquer si bien...<br />
Répondre
B
<br /> c'est une amie qui m'a donné l'adresse de votre blog. j'ai pleuré en lisant votre page sur Dalida. Pareillement pour moi elle a marqué ma vie. Toujours des refrains qui reviennent en<br /> mémoire. <br />
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C
<br /> Nous ne connaissions pas votre blog, et nous tombons sur cette merveilleuse femme qu'était Dalida. Vous avez de la chance ... c'est très sympa de dire tout ça. Merci<br />
Répondre
C
<br /> <br /> <br /> <br /> bonsoir, j'ai 19 ans et je n'ai jamais vu Dalida sur scène. Mais c'est une artiste que j'apprécie tout particulièrement. Ma mère n'ose pas vous laisser<br /> de commentaires mais elle a l'impression de vous connaître. Elle s'appelait à l'époque Michelle Lepage, habitait rue Lepic et travaillait à l'Olympia. Je ne lui dis pas que je vous laisse ce<br /> message mais si ce nom vous rappelle quelqu'u n'hésitez pas à me le dire. Je sais qu'elle a lu et relu votre article. Beaucoup pleuré. En tout cas vous semblez connaître des gens en commun. Merci<br /> pour ce très émouvant hommage et ces beaux souvenirs qdont vous nous faites cadeau. Chloé Astringuet<br />
Répondre
B
<br /> bonjour c'est une bien belle page et un bel hommage. j'aurais bien voulu la rencontrer aussi et connaître cette époque dont vous parlez si bien; merci<br />
Répondre
Z
<br /> je viens de lire votre critique de stars 80 et je tombe sur cette page. j'adore Dalida que je n'ai pas connue. juste en dvd et télé mais j'aime cette femme je ne sais pas pourquoi elle me fascine<br /> et ce que vous dites me touche beaucoup je l'ai lu plusieurs fois. je ne sais pas si ce message vous arrivera je ne connais rien à ce système de blogs je suis expatriée à l'autre bout du monde,<br /> mais c'est génial de regarder ces photos, revoir ces extraits vidéo. j'ai passé un excellent moment un grand merci à vous si ce message arrive<br />
Répondre
J
<br /> Alain, je découvre aujourd'hui cette page ! Que de souvenirs tu remues au travers de tes mots. Pour en avoir partagé beaucoup ensemble, j'en suis encore plus ému. Je t'embrasse et merci. Jacques<br />
Répondre
M
<br /> Bonsoir, je suis née l'année de sa disparition et sans l'avoir connue et encore moins vue sur scène, j'ai une réelle passion pour cette femme et tout ce qu'elle a représenté. J'ai été très émue<br /> en découvrant votre page, ces si belles photos et les vidéos aussi. Je suis encore plus convaincue maintenant de la beauté sous toutes ses formes qu'elle était après avoir lu vos belles lignes.<br /> Merci Margot Vérins.<br />
Répondre
C
<br /> Beaucoup d'émotion et d'amour. Si l'on ne meurt vraiment  que quand on disparait du coeur des gens, grâce à des personnes comme toi, elle a encore une belle vie devant elle!!!<br />
Répondre
M
<br /> bonjour, c'est carrément très beau ce que vous écrivez sur cette dame, vous avez eu de la chance.<br />
Répondre
A
<br /> J’ai lu ton article ce matin<br /> et je suis restée fascinée par ton admiration pour Dalida et combien tu arrives à faire passer sa personnalité à travers ton écriture. Quelle émotion .<br /> <br /> <br /> Les photos sont magnifiques,<br /> elle est magnifique. Tu m’as offert un grand moment de beauté pour commencer la journée.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je me suis replongée dans ces<br /> années de liberté, de jeunesse, de folie, loin de notre monde actuel si touché par tant de préoccupations et contraint par beaucoup d’événements.<br /> <br /> <br /> Peut-être ai-je ressenti une<br /> certaine nostalgie tout au long de cette journée, un certain regret de voir le temps passé si vite et la vie être si différente du passé.<br /> <br /> <br /> But, we can’t change nothing !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mais , grâce à tes mots,<br />  j’ai compris aussi la chance que j’ai d’avoir connu cette légèreté, cette fantaisie, cette «  non –peur «  du lendemain, cette joie de vivre, cette insouciance de ces années<br /> magiques.<br /> <br /> <br /> Merci pour m’avoir permis de<br /> replonger dans ces moments-là. Les photos que tu publies sont très émouvantes et ton écriture, tes mots sont un enchantement. Ecris un livre….<br />
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I
<br /> très beau et très émouvant aussi. je n''ai pas connu cette artiste sur scène, (j'ai 24 ans) mais à la lecture de votre page je le regrette, car je l'admire beaucoup et encore plus après avoir lu<br /> et regardé vos vidéos sur votre page.<br />
Répondre
A
<br /> article très beau et émouvant <br />
Répondre
A
<br /> carrément très beau ! je ne connaissais pas la première chanson, bel article.merci. Arnaud Ibis<br />
Répondre
A
<br /> très bel hommage, vous avez eu de la chance de vivre une pareille époque, très heureux pour vous et bravo pour votre page, c'est très émouvant et simple en même temps. comme les pages de la vie<br />
Répondre
J
je viens de rentrer et je lis votre article magnifique. quelle chance d'avoir connu cette époque et cette insouciance. on se sent privilégiés par rapport à aujourd'hui. c'est vraiment superbe et un<br /> très bel hommage. merci pour Dali
Répondre
A
Bonsoir, nous avons vu Dalida une seule fois sur scène, au palais des Congrès et nous en gardons un souvenir magnifique. vous avez raison elle avait une aura particulière ce qui explique la passion<br /> qu'elle suscite toujours. C'est très émouvant de lire votre page et les extraits vidéos sont bien choisis. Nous aimons le cinéma aussi et reviendrons sur votre site, très intéressant. Bonne soirée.<br /> Arielle et Mars Latoursan
Répondre
M
l'ordi de Michel ne chôme pas aujourd'hui, ton post sur Dalida est particulèrement réussi. nous le visionnons chacun à notre tour et on a l'impression de l'avoir connue alors que ce n'est pas le<br /> cas pour certains d'entre nous Ciao bello. @ +
Répondre
A
bonjour, je suis un collègue de Michel qui m'a donné l'adresse de votre blog; Juste pour vous dire que votre hommage à Dalida est touchant et très beau. vous avez eu beaucoup de chance et merci de<br /> nous en faire profiter. Merci Arnaud Duford
Répondre
A
Un hommage vibrant à l'intention d'une femme qui avait su évoluer avec intelligence et talent. Je me souviens de ses émissions avec les Carpentier à la télévision où elle apparaissait toujours<br /> d'une grande élégance, jouant avec ses cheveux dont elle était visiblement fière. Elle a eu des chansons qui sont aujourd'hui encore des tubes comme "Bambino". J'aimais moi aussi cette époque où se<br /> relayaient Joe Dassin ( si élégant ), Thierry le Luron, CloClo, l'incontournable Johny ; il y avait de la joie dans l'air, tout pétillait, tout semblait possible.<br /> Votre article ranime des souvenirs dont le charme reste intact et omniprésent. MERCI.
Répondre
A
belle page et bel hommage, je l'adore et la dernière vidéo est magnifique
Répondre
M
Alain, je ne suis pas étonné de découvrir cette belle "grande" page hommage à la "Diva". Qui peut ne pas aimer Dalida ? Elle est aujourd'hui toujours présente et le sera bien longtemps encore, les<br /> vrais artistes ne meurent jamais... Tu en sais quelque chose, toi le passionné du 7ème art. Merci pour cet article qui comme je vois,à la lecture des commentaires, ne laisse pas indifférent... Quoi<br /> de plus normal, je connais un peu ton histoire, ton passé, tes passions, ta sensibilité, ton intégralité... Je ne suis pas étonné comme tu l'écris dans ton introduction. Je t'embrasse. Miguel
Répondre
G
je voulais être le premier à te laisser un message sur ton blog, c'est rapé, et tu n'as pas mis en ligne une seule des photos où tu es avec elle, tu en as dde belles pourtant. super cher alain, je<br /> te reconnais bien dans tout ça
Répondre
C
quelle chance pour vous, drucker pourrait faire un bel hommage pour une fois je ferai exception et je regarderai son émission très sympa de lire cette note et de voir toutes ces photos que je ne<br /> connaissais pas
Répondre
C
je bois mon café du matin en lisant ton article du jour. superbe hommage et les photos sont magnifiques. les vidéos aussi. chapeau à toi Alain, je vois que le temps passe mais que ta fidélité est<br /> intacte. biz
Répondre
S
bonjour, j'ai 23 ans et je l'adore cette femme me fait rêver je ne l'ai vue qu'a la télé ou sur youtube c'est beau vos photos et les vidéos avec line renaud et surtout la dernière en bout de page,<br /> elle était tellement belle la chanson est magniifque
Répondre
M
C’est drôle. Je me souviens parfaitement du jour où nous nous sommes retrouvés sur la tombe du Dali il y a dix ans, le 3 mai 2002. Tu étais avec ce merveilleux petit Homère que tu avais eu à la<br /> SPA. Mon fils jouait avec lui pendant que nous buvions un verre aux Terrasses. Aujourd’hui nous restons en contact via le net. La vie me semble bizarre par moment, je me sens parfois largué<br /> aujourd’hui. Mais ce message sur ton blog aujourd'hui pour te dire que je n’ai rien oublié de toutes ces joies que nous avons eu la chance, comme tu le dis si bien, de pouvoir partager. Ton article<br /> est très beau et m’a profondément ému. Continue. Et merci pour Elle. Michel.
Répondre
J
Mon cher Alain, je m’attendais un peu à cet article aujourd’hui je ne pensais pas que qu’il raviverait autant de belles choses. Clara qui a maintenant 26 ans ne l’a donc pas connue, et pourtant<br /> elle est une fan absolue. Tu parles de l’aura de Dali, tu as raison. La preuve est qu’elle reste encore présente dans les esprits et marque même ceux qui ne l’ont pas vue sur scène ou approchée<br /> dans la vie. Je suis très émue de ce que tu as écrit. Je t’embrasse Johane
Répondre

 

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Lrs InnocentesEl Clan

 

 

 

 

 

 

TempêteLes Délices de Tokyo (An)

 

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Rosalie BlumNo land's song

 

 

 

 

 

 

La saison des femmes (Parched)Julieta

 

 

 

 

 

Chala, une enfance cubaine (Conducta)Red Amnesia

 

 

 

 

 

 

Toni ErdmannTruman

 

 

 

 

 

 

Le fils de Jean

Divines

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Frantz

 

 

 

 

 

 

Juste la fin du mondeAquarius

 

 

 

 

 

 

 

Une vie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En 2015.

 

..Mon Fils - Eran Riklis..Gente de Bien.La Maison au toit rouge.La Tête Haute.Une Femme Iranienne "Aynehaye Rooberoo". Facing Mirrors.Une seconde mère "Que Horas Ela Volta ?".Mustang.La Belle saison.Aferim !.La dernière leçon.Ni le ciel ni la terre.Les chansons que mes frères m'ont apprises.Fatima...Mia Madre

 

 

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Voir et revoir..........................................Voir et revoir.........................................Voir et revoir....................

 

Pandora "Pandora and the Flying Dutchman".Umberto D.La chevauchée des Bannis.Loin du Paradis.Une journée particulière.Le procès de Viviane Amsalem "Gett".Tout ce que le ciel permet.

 

 

Luchon. Reine des Pyrénées. Cliqez ICI.