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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 00:00

 

Date de sortie 30 janvier 2013

 

Lincoln---Affiche.jpg

 
Réalisé par Steven Spielberg


Avec Daniel Day-Lewis, Sally Field, David Strathairn,

Joseph Gordon-Levitt, Hal Holbrook, Tommy Lee Jones,

James Spader, John Hawkes, Gulliver McGrath, Jared Harris

 
Genre Biopic, Drame


Production Américaine

 

Abraham Lincoln est l'un des présidents les plus emblématiques de l'histoire des États-Unis. Il a grandement contribué à forger l'image pionnière de ce pays à travers un destin aussi exceptionnel qu'incroyable. Les quatre dernier mois de son mandat furent aussi les derniers de sa vie et durant cette période, le président Abraham Lincoln a donné toute la mesure de sa passion et de son humanité en se jetant dans son ultime bataille. Pour réussir à dessiner l'avenir d'une nation ébranlée, il a dû surmonter de formidables obstacles, aussi bien dans sa vie publique que personnelle...

 

Lincoln-3.jpg

 

Abraham Lincoln mène une double lutte : mettre fin à la guerre civile dévastatrice, et faire adopter le 13ème amendement abolissant définitivement l'esclavage. Pour mener à bien cette entreprise d'une audace politique hors norme, Abraham Lincoln va devoir rassembler son talent, son courage et sa force d'âme, tout ce qui a fait de lui une légende. Il a dû affronter l'impact de ses actes sur le monde et sur ceux qu'il aimait. Au-delà des sacrifices, son but était d'imposer au peuple américain, et à ses opposants au sein de son propre gouvernement, un changement de cap, un but supérieur, pour le bien de l'humanité tout entière.

 

L'existence d'Abraham Lincoln démontre que certains hommes, avec tous leurs défauts, peuvent accomplir l'impossible et incarner l'idée du rassemblement, y compris pour ceux égarés sur les chemins de la guerre et d'un passé funeste.

 

Depuis l'âge de sept ans, Steven Spielberg a toujours nourri une fascination pour le personnage d'Abraham Lincoln, bien décidé à lui consacrer un film. La genèse de la passion de Steven Spielberg pour Abraham Lincoln a connu ses prémices lors d'une visite du fameux Lincoln Memorial à Washington : Lincoln - Memorial"J'ai toujours voulu raconter une histoire à propos de Lincoln. C'est l'une des figures les plus fascinantes de l'Histoire et il occupe une grande place dans ma vie. Je devais avoir quatre ou cinq ans lorsque j'ai vu le Lincoln Memorial pour la première fois, j'ai d'abord été effrayé par la taille de la statue sur ce fauteuil, mais à mesure que j'approchais, j'étais de plus en plus captivé par son visage. Je n'oublierai jamais cet instant, cela m'a poussé à m'interroger sur cet homme qui me surplombait, assis dans ce fauteuil.", révèle le cinéaste. Il a de plus, lu quantité d'ouvrages sur Lincoln, l'a étudié en profondeur et est devenu de plus en plus convaincu que sa vie intense et mouvementée était remplie d'histoires non seulement fondamentalement cinématographiques mais également de plus en plus en résonnance avec notre époque.


Lincoln est basé sur le livre de Doris Kearns Goodwin, Team of Rivals. Steven Spielberg était déjà en train de travailler sur le biopic du célèbre président quand il a rencontré l'auteur. Steven Spielberg s'est intéressé au livre de Doris Kearns Goodwin plusieurs années avant sa parution. Le cinéaste et l'auteure se sont rencontrés lors de la célébration du millénaire à Washington. Le cinéaste lui a confié être en train de travailler sur Lincoln quand Doris Kearns Goodwin lui a annoncé qu'elle venait juste de terminer son livre.  À sa publication en 2005, le livre fut un immense succès. Cette biographie, qui se dévore comme un roman, est rapidement devenue incontournable.


Steven Spielberg décida de l'utiliser comme fondement de son film.

 

Une fois les droits acquis, le projet n'a cessé d'être repoussé depuis 2005, en raison des nombreux films du réalisateur. Le tournage devait avoir lieu début 2011, mais Steven Spielberg a préféré se concentrer sur ses deux précédents longs métrages Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne et Cheval de guerre avant de s’attaquer à Lincoln.

 

Lincoln---Daniel-Day-Lewis-5.jpg

 

Daniel Day-Lewis a reçu en 2012 :


- Le Golden Globe du meilleur acteur

- L'Oscar du meilleur acteur principal


ces deux récompenses pour son incarnation du

président des États-Unis, Abraham Lincoln.


Daniel Day-Lewis devient ainsi le premier comédien à remporter trois Oscars de meilleur acteur dans un rôle principal. En 1990 il recevait un premier Oscar pour son rôle dans My Left Foot. Le deuxième, en 2008, pour son rôle dans le film de Paul Thomas Anderson There Will Be Blood. Ce qui fait de lui le recordman en la matière puisque seul Jack Nicholson compte trois statuettes, mais l'une lui avait été décernée pour un second rôle.

 

Rick Carter et Jim Erickson  remportent pour Lincoln

l'Oscar 2012 des Meilleurs décors.

 

Lincoln---Daniel-Day-Lewis-copie-1.jpg.Lincoln---Daniel-Day-Lewis-1.jpg


Synopsis

 

Les derniers mois tumultueux du mandat du 16ème Président des États-Unis.

 

Dans une nation déchirée par la guerre civile et secouée par le vent du changement, Abraham Lincoln met tout en œuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l'esclavage.


Le portrait qui nous est présenté est celui d'un homme pétri de paradoxes, tour à tour drôle et solennel; un conteur malicieux et un homme de pouvoir fervent, un chef sagace et un père vulnérable.

 

Mais aux heures les plus noires que connut la nation américaine, lorsque les temps exigèrent le meilleur de chacun, il aspira du plus profond de son être à accomplir quelque chose de puissant et d'éternel.


Cet homme doté d'une détermination et d'un courage moral exceptionnels va devoir faire des choix qui bouleverseront le destin des générations à venir.


Bien que le film se concentre sur la vie politique d'Abraham Lincoln, Steven Spielberg n'en occulte pas pour autant sa vie familiale tumultueuse, entre une femme au caractère affirmé, la perte d'un de ses fils et la peur d'en perdre un autre à la guerre. Mary Todd Lincoln avait déclaré à l'époque à propos de son mari : "Il sera président des États-Unis un jour. Si je ne le pensais pas, je ne l’aurais jamais épousé, car vous voyez bien qu’il n’est pas beau".

 

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 Sally Field et Daniel Day-Lewis

 

Une première version du scénario a été écrite par John Logan et Paul Webb avant que Tony Kushner ne soit engagé. Steven Spielberg a été impressionné par Tony Kushner lors de leur collaboration sur Munich réalisé en 2005.  Cela a conduit le célèbre réalisateur à travailler à nouveau avec le le dramaturge, lauréat du prix Pulitzer,  pour son nouveau film  Lincoln.  Le scénariste Tony Kushner a rendu une première version du scénario contenant pas moins de 500 pages ! "C’était l’un des scénarios les plus brillants que j’aie jamais lus, mais il était trop foisonnant, trop long et tout simplement irréalisable du point de vue cinématographique. Cependant, en le lisant, j’ai trouvé que le plus fascinant dans le travail de Tony, c’était les 70 pages sur la lutte pour l’adoption du 13ème amendement. Nous nous sommes concentrés sur les quatre derniers mois de la vie de Lincoln, car ce qu'il a accompli au cours de cette période est véritablement prodigieux. Nous voulions cependant montrer que c'était un homme, et non un mythe. Nous nous sommes dit que notre meilleure chance d'être fidèles à cet homme exceptionnellement complexe était de le décrire en plein coeur de son combat le plus difficile : l'adoption du 13e amendement par la Chambre des Représentants", dévoile Steven Spielberg.

 

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Au début de l'aventure, Doris Kearns Goodwin a invité Steven Spielberg et Tony Kushner à assister à une table ronde avec des spécialistes d'Abraham Lincoln afin qu'ils aient une idée de l'univers complexe dans lequel ils s'apprêtaient à pénétrer, elle a été étonnée de voir combien ils étaient à l'aise. La biographe se souvient : "Ce fut une journée incroyable. Plus tard, j'ai reçu des e-mails de tous les historiens qui me disaient combien ils avaient été impressionnés par les connaissances de Steven sur Lincoln, la guerre de Sécession, l'abolition de l'esclavage, sur Mary, sur tout. Très vite, Tony et moi avons commencé à échanger des e-mails à propos de chaque aspect de Lincoln, et j'étais convaincue que personne ne pourrait faire mieux qu'eux."

 

Lincoln. est une plongée intime dans les moments les plus périlleux et les plus révélateurs de la vie de l'homme d'État américain, à une époque où planait l'ombre malsaine de l'esclavage, dans un pays déchiré par la guerre. "Lincoln a dirigé notre pays à travers ses pires moments, il a permis aux idéaux de la démocratie américaine de survivre et a mis un terme à l'esclavage. Mais je voulais également faire un film montrant combien Lincoln était un homme aux multiples facettes. C'était un homme d'État, un chef militaire, mais également un père, un mari et un homme sans cesse dans l'introspection. Je souhaitais raconter une histoire sur Lincoln qui éviterait tant l'écueil du cynisme que celui du culte du héros, tout en étant fidèle à l'immensité du personnage et à sa vie privée ainsi qu'aux aspects plus tendres de sa personnalité."affirme le réalisateur.

 

Lincoln - Daniel Day-LewisEn mettant l'accent, dans les derniers jours de Lincoln, sur les débats palpitants et orageux, les machinations politiques et une vie de famille entre espoirs et inquiétudes, Steven Spielberg et Tony Kushner ont révélé le caractère fascinant et foncièrement humain du plus grand combat d'une démocratie pour sa survie. Le réalisateur remarque : "Le film est plein de suspense. On peut même, par moments, le voir comme une sorte de thriller politique."

 

Sur un scénario d'une grande richesse et porté par la puissance narrative profondément humaine de Steven Spielberg et la performance d'acteurs exceptionnels réunis autour de Daniel Day-Lewis, le film invite le public à pénétrer le coeur et l'âme des derniers accomplissements de Lincoln.

 

Ce sujet dense et intense a galvanisé Steven Spielberg, en sollicitant son instinct de réalisateur dans un registre différent des autres oeuvres de son incroyable filmographie. Il explique : "Mes films sont plus souvent racontés par des images que par des mots. Mais dans ce cas, les images se sont effacées derrière l'éloquence et la présence d'Abraham Lincoln. Avec Lincoln, j'étais moins intéressé par un déferlement d'images que par le fait de laisser les moments les plus humains de cette histoire se dérouler devant nous. "

 
Plus de 140 personnages s'entrecroisent dans ce portrait du célèbre président des USA dont d'éminentes personnalités de l'époque qu'il faut présenter aux spectateurs : "Le processus narratif a été très difficile. Mais j’aime beaucoup écrire des scènes d’exposition car c’est comme un puzzle mental dont on assemble les pièces. Je suis convaincu que les spectateurs sont très intelligents et je savais également que mon script serait entre les mains de l’un des meilleurs réalisateurs de l’Histoire", raconte le scénariste Tony Kushner.

 

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Kathleen Kennedy, partenaire de production de Steven Spielberg de longue date, déclare :  

"Lincoln représente une étape intéressante dans l'évolution de la carrière de Steven. Il est passionné d'Histoire depuis toujours et a réalisé de nombreux films ayant un contexte historique et je pense qu'il s'est rendu compte que c'est dans l'Histoire que l'on trouve certains des personnages les plus intéressants. Mais Steven savait qu'avec Lincoln, il ne créerait pas un biopic conventionnel. C'est pourquoi Tony Kushner et lui ont tenté de trouver la manière la plus intime de présenter l'ampleur des réalisations de Lincoln en tant que président, à travers l'évocation de l'abolition de l'esclavage et d'autres moments clé de sa présidence. "


Steven Spielberg s'est entouré d'une troupe d'artistes chevronnés qu'il connait bien pour réaliser ce Lincoln. Ainsi, on retrouve Janusz Kaminski à la photographie, Michael Kahn au montage, Rick Carter pour les décors, Joanna Johnston pour les costumes et l'inévitable John Williams à la composition de la musique.


Le réalisateur Steven Spielberg s'est évertué à recréer sur le plateau une ambiance d'époque afin d'immerger totalement l'équipe ; en ce sens, le chef-décorateur Rick Carter confie : "Je me souviens d’avoir eu la sensation de remonter le temps lorsque Daniel Day-Lewis a pénétré sur le plateau pour la première fois. Je n’oublierai jamais ce moment. Ce n’était pas Daniel Day-Lewis que j’avais en face de moi. C’était le président des États-Unis de 1865, c’était Abraham Lincoln."


Daniel Day-Lewis est un homme rare que l'on connaît peu, qui évite les médias et qui choisit ses rôles avec la plus grande exigence, mais également en fonction de ce que lui dicte son for intérieur et ses préoccupations du moment. C'est ce qu'il expliquait notamment à Steven Spielberg lorsqu'il avait, dans un premier temps, refusé le rôle dans le film Lincoln.

 

Lincoln---Daniel-Day-Lewis-copie-2.jpg"Cher Steven, ce fut un réel plaisir de simplement s'assoir et discuter avec toi. J'ai écouté très attentivement ce que tu avais à dire sur cette histoire captivante, et depuis, j'ai lu le scénario et je l'ai trouvé puissant et émouvant, au travers des récits détaillés de ces événements déterminants et des portraits très précis des différents protagonistes, étudiés avec compassion. Je ne peux pas faire le compte du nombre de fois où j'ai ressenti le besoin d'explorer d'autres vies, mais je sais que je ne peux accepter un travail que si j'ai le sentiment que je n'ai pas le choix. Cet aspect des choses tient de manière inexplicable à des besoins personnels me concernant, à des moments bien précis de ma vie . Pour ce cas, j'ai été fasciné par Abe (Abraham Lincoln), ce fut la fascination d'un spectateur reconnaissant qui avait envie de voir cette histoire racontée, plutôt que celle d'un participant. C'est ainsi que je ressens les choses aujourd'hui, malgré moi, et bien que je ne puisse être sûr que cela ne va changer, je veux t'encourager à garder ce projet ouvert et à envisager d'autres possibilités. J'espère que ce que je dis fait sens pour toi, Steven, je suis heureux que tu fasses ce film, je te souhaite la force de l'accomplir, et je t'adresse mes voeux de réussite et ma sincère gratitude pour avoir pensé à moi."

 

Le réalisateur raconte également que l'un des facteurs ayant fait pencher la balance, pour que l'acteur accepte le rôle, c'est que Leonardo DiCaprio a appelé Daniel Day-Lewis, lui conseillant de reconsidérer le projet.

 

C'est suite à cet appel, que Daniel Day-Lewis a accepté de lire le nouveau scénario écrit par Tony Kushner. Une fois qu'il a lu ce scénario, alors, il ne lui restait plus qu'à régler une question importante : était-il capable de façonner ce personnage de manière à vivre avec toute sa vie ? car Daniel Day-Lewis est un perfectionniste qui refuse de trahir un personnage. Son implication est totale, la transformation physique n'est qu'une étape. Être au plus près physiquement de celui qu'il incarne est essentiel, mais ce n'est pas tout. Il a travaillé des mois pour casser son accent et adopter celui de Lincoln.


Lincoln---.jpgDaniel Day-Lewis s'est plongé non seulement dans le livre qui a servi de base au scénario du film Team of Rivals mais a également effectué un travail de recherche gargantuesque, lectures d'articles, discours, biographies : "Le livre de Doris Kearns Goodwin a constitué un excellent point de départ. Mais lire des récits autobiographiques a ses limites, et à un moment donné, il est devenu encore plus intéressant à mes yeux d’évoluer vers une compréhension plus subjective de la vie personnelle de Lincoln. En cela, ce qui ressort de ses écrits a été très important. On saisit magnifiquement sa personnalité non seulement dans ses discours mais également dans les histoires qu’il racontait", commente le comédien.

 

Après que Daniel Day-Lewis ait travaillé sa voix pour coller à celle d'Abraham Lincoln, l'acteur a envoyé une cassette audio à Steven Spielberg pour avoir son aval. Ladite cassette se trouvait dans une boîte affublée d'une tête de mort, sorte d'avertissement afin que Spielberg soit le seul à l'écouter en premier.
 
Pendant le tournage, le rôle d'Abraham Lincoln était inscrit sur le plan de travail comme étant joué par Abraham Lincoln, pas Daniel Day-Lewis.
 


Daniel Day-Lewis avait campé Bill Le Boucher, un personnage totalement opposé à la politique d'Abraham Lincoln dans le film de Martin Scorsese, Gangs of New York.


Daniel Day-Lewis et Sally Field ont poussé le mimétisme jusqu'à s'envoyer des SMS signés de leurs personnages respectifs, Abraham Lincoln et sa femme, Mary Todd : "Daniel m’envoyait par exemple des limericks - des poèmes humoristiques, de petits messages facétieux ou des notes à l’improviste, et une complicité s’est créée entre nous", révèle la comédienne.

 

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Sally Field

  

L'actrice Sally Field était si déterminée à jouer le rôle de Mary Todd Lincoln qu'elle a fini par convaincre Steven Spielberg de la laisser auditionner. En effet, le cinéaste trouvait que l'actrice était trop vieille pour le rôle, 20 ans de plus que Mary Todd. Cependant, devant l'abnégation de l'actrice, Steven Spielberg organisa une audition en compagnie de Daniel Day-Lewis qui est venu d'Irlande exprès pour ça. Finalement, la comédienne a réussi à convaincre le réalisateur qu'elle était la meilleure pour le rôle : "Daniel Day-Lewis est si gentil qu'il n'a pas hésité à prendre un vol depuis l'Irlande pour passer l'audition avec moi. Je l'aimerais toujours pour ça", s'extasie Sally Field.

 

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Hal Holbrook campe le rôle de Francis Preston Blair dans Lincoln. L'acteur a remporté un Emmy award pour avoir prêté ses traits au célèbre président des USA en 1974 dans la mini-série Lincoln. Il a également joué le rôle de Lincoln dans Nord et Sud et lors d'une apparition dans le Ed Sullivan Show.

 

 

 


Joseph Gordon-Levitt incarne Robert Lincoln, seul fils des Lincoln à avoir survécu jusqu'à l'âge adulte. Le jeune acteur donne la réplique à Daniel Day-Lewis, un de ses "maîtres" : "C’était un peu étrange d’échanger des messages avec quelqu’un que j’avais idolâtré toute ma vie. Mais j’étais ravi. Daniel est un homme vraiment gentil et généreux. Cela m’a beaucoup touché lorsqu’il m’a dit que j’étais son premier choix, qu’il voulait faire ce film avec moi", déclare l'acteur.

 

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Joseph Gordon-Levitt

 

 

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Par ailleurs, on retrouve Gulliver McGrath dans le rôle de Tad, jeune fils des Lincoln : "Même lorsqu’on ne jouait pas, il se comportait comme un père avec moi, il me serrait dans ses bras et m’ébouriffait les cheveux. Grâce à Daniel et Sally, j’ai eu l’impression de faire un bond de 150 ans en arrière et de me trouver dans la même pièce que les Lincoln – on ne se donnait pas simplement la réplique, c’était quelque chose de plus réel et de plus beau", confie le jeune comédien.

 

 


Au départ, c’était l’acteur Liam Neeson qui était pressenti pour incarner Abraham Lincoln, un rôle qui aurait marqué sa deuxième collaboration avec Steven Spielberg après La Liste de Schindler. Néanmoins, le biopic fut trop long à voir le jour et l’acteur irlandais a finalement déclaré qu’il était aujourd’hui trop âgé pour jouer le 16ème président des Etats-Unis d’Amérique.

 

Après Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal, Steven Spielberg a proposé à Harrison Ford de faire une apparition dans Lincoln sous les traits du vice-président Andrew Johnson. Néanmoins, à cause d'une accumulation de retard, cette idée est finalement tombée à l’eau.

 

 

 

Sources :

http://www.imdb.com

http://twentytwowords.com

http://www.cinemovies.fr

http://www.gofobo.com

http://www.allocine.fr

commentaires

E
<br /> Pas d'accord avec Dasola.le film ne joue pas sur le sensible,sauf un tout petit peu à la fin.Très intéressant,tout en palabres et tractations,donc assez austère mais c'est le thème même du film<br /> qui veut ça,et qui n'a rien pour déchaîner les foules.Mais fort bien documenté et qui, éclaire le difficile métier de la politique.Se rappeler ce terrible conflit de la Sécession.<br /> <br /> <br /> P.S.Si tu veux te joindre à Valentyne et moi pour une lecture commune du Miracle de San Gennaro. <br />
Répondre
D
<br /> Bonsoir Alain, j'avoue ne pas avoir beaucoup aimé ce film qui oscille entre l'intime et le grand spectacle. Ca manque d'âme. C'est un film très froid. J'aurais être émue à la fin: même pas. Une<br /> déception en ce qui me concerne. Bonne fin d'après-midi.<br />
Répondre

 

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