Marco Berger est un cinéaste argentin dont les 22èmes Rencontres des Cinémas d'Amérique latine à Toulouse présentent en compétition le premier long métrage, Plan B, et un court métrage, Una Última voluntad, un autre, El Reloj, étant en compétition en écran libre.
Il analyse son film, la relation qu’il établit avec les acteurs, les objets et les lieux, et évoque sa conception de la place du cinéma gay, auquel il ne se rattache que marginalement.
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Quel type de dialogue pensez-vous avoir avec le public?
"Le cinéma est toujours en dialogue avec le public et n'existe qu'à la condition que quelqu'un reçoive son message. Ce qui importe est de savoir se mettre dans la tête du spectateur et de le conduire sur les chemins souhaités. Ainsi, devant un film, on croit pouvoir, à la suite de spéculations, deviner la fin et, tout à coup, se rendre compte que tout ce que l'on imaginait ne correspond plus à la réalité, nous amenant à repenser l'histoire. Si le film dispose d'un bon dialogue avec le spectateur, le film sera toujours honnête et cohérent."
Extrait interview recueilli sur : http://www.cinelatino.com.
2008 - Plan B
2011 - Absent (Ausente)