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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 23:09

 

Date de sortie cinéma : 7 juillet 2010
 

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Réalisé par Marc Fitoussi

Avec Isabelle Huppert, Aure Atika, Lolita Chammah,

Jurgen Delnaet, Chantal Banlier, Magali Woch, Nelly Antignac,

Guillaume Gouix, Joachim Lombard, Noémie Lvovsky

 
Long-métrage français . Genre : Comédie dramatique

 

 

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Lolita Chammah et Isabelle Huppert

 


Synopsis :

Inconséquente et joviale, Babou ne s’est jamais souciée de réussite sociale. Elle décide pourtant de rentrer dans le droit chemin quand elle découvre que sa fille a trop honte d’elle pour l’inviter à son mariage. Piquée au vif dans son amour maternel, Babou se résout à vendre des appartements en multipropriété à Ostende, en plein hiver. Dans l’étrangeté de cette station balnéaire hors saison, elle pourrait être tentée de se laisser vivre. Mais Babou s’accroche, bien décidée à regagner l’estime de sa fille et à lui offrir un cadeau de mariage digne de ce nom ...




Origine du projet

C'est à partir du thème de son moyen-métrage Bonbon au poivre en 2005 , que Marc Fitoussi a pensé son scénario. Ainsi là où le précédent suivait le parcours "d'une femme contrainte à suivre un stage de reconversion professionnelle afin de devenir VRP et qui ne supporte pas les techniques de vente agressives qu’on lui demande de reproduire avec ses futurs clients", Copacabana expose un personnage, Babou, qui "à la faveur d’une expérience qui devrait faire d’elle une femme comme les autres, se révèle incurablement rétive à la ligne droite et définitivement passionnée par les chemins de traverse." Ce goût pour les itinéraires en dehors de la norme est né lors du précédent tournage et il voulait "aller plus loin dans cette veine-là : faire de la critique sociale sur un mode comique, à travers le portrait d’une femme habituée à la marge et soudain confrontée à un univers dit «normal» qui lui est complètement étranger."

Isabelle-Huppert.jpg
 

 

 

 

Si le film se compose autour d'un seul personnage, l'aboutissement et la réussite du projet dépendent entièrement de la capacité de l'actrice principale à revêtir avec justesse un défi si exigeant. Le réalisateur confesse que, dès l'écriture du scénario, il n'a toujours envisagé que la seule Isabelle Huppert pour incarner cette femme "inconséquente et «foutraque»", comme il la définit. Un pari osé à la vue de ses derniers rôles d'"héroïnes dangereuses et glacées". Mais fort de "la certitude qu’elle est de ces rares actrices qui savent tout jouer, non seulement parce qu’elles ont le goût du risque, mais aussi parce qu’elles ont les moyens de relever brillamment tous les défis", le réalisateur a surmonté son intimidation et, à la lecture du scénario, la comédienne s'est révélée conquise et réjouie, notamment à l'idée de partager l'écran avec sa fille.

 

 



Contrairement à sa précédente réalisation, La Vie d'artiste qui suivait le destin de trois personnages, Marc Fitoussi a choisi de centrer son récit sur l'histoire d'une seule principale figure, Babou, interprétée par Isabelle Huppert. S'il revient vers un développement plus "classique" de la narration, c'est qu'il souhaitait un plus grand champ d'approfondissement de son personnage, au contraire du film-chorale qui impose de montrer "seuls les moments forts dans le parcours des protagonistes", comme il l'explique lui-même. Il ajoute, à propos de l'omniprésence de Babou : "Cela m’a laissé toute latitude pour la mettre en scène, non seulement dans ses mésaventures rocambolesques, mais également dans ces moments de pas grand-chose qui illustrent le désoeuvrement mélancolique auquel elle s’abandonne parfois."

 

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Le personnage de Babou est d'une force qui ne peut laisser indifférent. Le réalisateur affirme pourtant n'avoir pas cherché à "l’ériger en modèle" mais plutôt à en faire l'image d'un être "en résistance (...) contre les impératifs d’efficacité sociale érigés en loi". A ce titre, et malgré sa facette"irresponsable", elle n’en est pas moins un exemple de liberté." Le magnétisme qui se dégage de sa personnalité, s'il fascine les autres protagonistes, peut questionner le spectateur, ce à quoi Marc Fitoussi ajoute : "Je ne me sens pas une vocation particulière à délivrer un prétendu message à travers mes films. J’espère en premier lieu épouser, du mieux que je le peux, et sans manichéisme, la complexité du réel. Et proposer un regard qui m’est personnel. En l’occurrence, je me sens une profonde empathie pour ces personnages qui se sont laissés engluer dans un système répressif. Je suppose que tous n’ont pas eu les moyens, comme Babou, de développer une distance critique vis-à-vis de la société", déclare-t-il.

 

Lolita Chammah a été d'ailleurs également une priorité évidente pour le réalisateur, qui, depuis La Vie d'artiste, est convaincu de son choix pour le personnage d'Esmeralda et de "l'impulsivité très adolescente qui la caractérise encore, ainsi que la densité dramatique, qui chez elle, n’est jamais ostentatoire".

 

 

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Isabelle Huppert et Lolita Chammah

 

 
Ce n'est pas la première fois que Lolita Chammah tourne aux côtés de sa mère, Isabelle Huppert. La jeune fille avait en effet joué un petit rôle dans

 

Une Affaire de femmes Une-affaire-de-femmes.jpg Réalisé par Claude Chabrol en 1988, alors qu'elle n'avait que quatre ans.
 

Si le réalisateur s'est fait le chantre de sujets sensibles et profondément ancrés dans le réel et d'une sociologie du drame qui peut désemparer, il n'en propose pas moins une version perpétuellement teintée de l'optimisme inhérent à la comédie. A la question de savoir s'il pense que ces deux facettes ont vocation à exister en commun, il répond :"J’aime qu’un film prodigue à ses spectateurs de l’enthousiasme et de la vitalité. C’est un choix que l’on pourra toujours me contester, mais je l’assume, car je suis convaincu qu’il faut une forme de courage pour se maintenir dans la joie. Je redoute plus que tout l’écueil du misérabilisme. (...) Et puis, j’ai toujours eu ce goût pour la galère et pour la loose. Sans doute parce qu’elles apportent une dimension aventureuse au quotidien même le plus ordinaire…(...) Alors, oui, la comédie me semble définitivement le genre où transcender la gravité."

 

 

Sont aussi de ce joyeux divertissement ... Luis Rego et Noémie Lvovsky

 

Luis Rego et Noémie Lvovsky

 

 

  

 

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Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 23:08

 

Date de sortie cinéma : 7 juillet 2010

 
Réalisé par Jonathan Lynn

Avec  Bill Nighy, Emily Blunt, Rupert Grint,

Rupert Everett, Eileen Atkins, Martin Freeman, Gregor Fisher,

Graham Seed, Stephanie Lammond...

Titre original : Wild Target

Long-métrage français , britannique . Genre : Action , Comédie , Drame  

 

 

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Emily Blunt, Rupert Grint et Bill Nighy

 

 

Synopsis :

Victor Maynard , un assassin vieux et solitaire, vit pour satisfaire sa formidable mère Louisa. Sa routine professionnelle est interrompue quand il se trouve attiré par l'une de ses prochaines victimes, Rose. Il épargne sa vie et obtient inopinément un jeune apprenti dans le processus, Tony.

 

 

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Rupert Grint

 

Quand Jonathan Lynn reprend Pierre Salvadori

Petits meurtres à l'Anglaise est un remake du film de Pierre Salvadori :

 

Cible émouvante Paff1394208895.jpg Réalisé en 1993
Avec Jean Rochefort, Marie Trintignant, Guillaume Depardieu, Patachou, Wladimir Yordanoff, 

 

 

Genèse du film

Le producteur Martin Pope a découvert l’histoire de Petits Meurtres à l'Anglaise grâce à Philippe Martin, son ami et confrère au sein du réseau de producteurs européens ACE, qui avait produit quinze ans auparavant le film français d’origine Cible émouvante, une comédie de Pierre Salvadori.

Réécriture

La scénariste Lucinda Coxon n'a eu qu’une cassette vidéo de l’original, ce qui est pour elle une façon inhabituelle et plutôt étrange de travailler, car elle a dû écrire un script directement à partir du film.

   
Bill Nighy a déjà donné la réplique à plusieurs de ses partenaires de Petits meurtres à l'anglaise. Il avait notamment croisé Emily Blunt en 2005 dans le téléfilm Gideon’s Daughter de Stephen Poliakoff et joué avec Gregor Fisher dans Love actually.

 

 

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Emily Blunt et Bill Nighy



 

 

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Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 23:07

 aDate de sortie cinéma : 7 juillet 2010


Réalisé par Francesca Archibugi


Avec Kim Rossi Stuart, Antonio Albanese, Micaela Ramazzotti

Titre original : Questione di Cuore

Long-métrage italien

 

Genre  Drame, Comédie

 Kim Rossi Stuart. Bellissima Films

Kim Rossi Stuart

 

Synopsis :

Angelo, jeune carrossier romain, et son épouse Rossana attendent leur troisième enfant et vivent paisiblement dans le quartier du Pigneto à Rome. Un soir, leur vie va croiser celle d’Alberto, scénariste en vogue, dans le lieu le plus inattendu. Tous deux victimes d’un infarctus, Angelo et Alberto vont devenir amis en salle de réanimation, et à l’écoute du battement de leur cœurs, sceller leurs destins.



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Antonio Albanese et Kim Rossi Stuart
 

 

Ce film, librement inspiré d'un roman de l'auteur italien Umberto Contarello, est né de la volonté de la réalisatrice de filmer l'Italie d'aujourd'hui de manière détournée, "à travers la rencontre entre deux personnages venant de mondes inconciliables", comme elle l'explique. Afin de s'octroyer une liberté plus fertile à sa création, et par respect pour l'écrivain, elle a insisté pour écrire son histoire seule : "car je voulais être libre de faire de son beau roman un mauvais film. Je me suis donc ainsi immergée seule dans cette histoire qui m’a servie de trame, reçue comme un cadeau par Umberto et Riccardo Tozzi, mon producteur, qui me l’ont offerte."


Rôles et acteurs


Dès la naissance du projet, Francesca Archibugi a eu la conviction "que ce film allait reposer sur les acteurs." Elle explicite sa pensée : "Les acteurs sont importants pour tous les réalisateurs, mais pour moi, ils sont essentiels. Ce sont eux qui tiennent les rênes, sans même le savoir, et je dois les faire se sentir totalement libres d’évoluer dans la cage de fer dramaturgique que je leur ai construite."
Cette technique de travail peut être risquée si elle tombe sur des interprètes qui ne seraient pas à la hauteur de ses intentions, mais elle n'a pas eu de problème de ce type avec le casting qu'elle avait choisi, à bon escient :"J’ai eu la chance d’avoir des acteurs exceptionnels : chacun m’a fait don de soi de manière émouvante et profonde."

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Paroles aux acteurs

De leur propre aveu, l'identité de la réalisatrice a influencé les acteurs dans leur choix de participer à l'aventure. Antonio Albanese, l'interprète d'Alberto, commente : " Mon intérêt pour ce projet est aussi né de mon désir de travailler avec une femme réalisatrice, qui s’est révélée beaucoup plus forte et tenace que tous les réalisateurs avec qui j’ai pu collaborer".

Kim Rossi Stuart expose quant à lui son impression sur le projet dans son ensemble où, là encore, la personnalité de Francesca Archibugi est impliquée : "J’ai été véritablement séduit par l’aspect léger du film, par la comédie. J’ai essayé de la pousser jusqu’à la limite du possible, même si je reste persuadé que dans le cinéma de Francesca Archibugi il y a toujours un fond de mélancolie, poignant".

 

 

 
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Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 23:05
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Date de sortie cinéma : 7 juillet 2010
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  Je Vous aime très beaucoup - Affiche 

Réalisé par Philippe Locquet

Avec  Firmine Richard, Bruno Lochet, Philippe Duquesne,
Albert Delpy, Max Clavelly, Julien Crampon, Axel Boute, Pierre Lefebvre

Long-métrage français . Genre : Comédie , Famille
 
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Firmine Richard
Synopsis :

À la mort de leur mère qu'ils n'ont pas connue, trois demi-frères de 8, 15 et 17 ans ayant grandi dans des milieux différents, se rencontrent pour la première fois. Ils passeront les grandes vacances ensemble chez la Nonna, leur grand-mère, entre secrets et lapins, polenta et coups tordus, aventures et premières fois.

 


Le réalisateur avait cette envie de faire un film sur l’enfance et l’adolescence : une chronique familiale singulière, fantasque, presque burlesque où les évènements se dérouleraient de façon énergique, vivante, lumineuse et très humaine.


Firmine Richard, Max Clavelly et Julien Crampon

Firmine Richard, Max Clavelly et Julien Crampon

 

 

 

La mixité raciale

A l'origine le réalisateur n'avait pas pensé à une grand-mère noire, mais sa rencontre avec Firmine Richard, provoquée par sa productrice, Nelly Kafsky, a tout changé. Après avoir longuement discuté de ce qu’impliquait le choix d’une famille métissée, ils ont estimé que c'était crédible, notant qu'il y avait de plus en plus d’enfants issus de parents d’origines différentes. Au bout d’un mois, persuadés que Firmine était le meilleur choix, ils ont décidé qu’à partir du moment où on n’abordait pas le problème, il ne se posait pas. Peu importe la couleur de peau de la Nonna, c’est une grand-mère comme les autres qui aime ses petits-fils.
 

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Max Clavelly, qui joue le P’tit, est arrivé le premier sur le projet. Enfant très intelligent et très réactif, il a selon le réalisateur, une capacité d’imagination à partir d’un texte assez étonnante.
 

 

 

 

 

 

 

Pour le personnage de Marty, l'équipe du film cherchait un physique de beau gosse où apparaisse une douceur. Julien Crampon avait cette fragilité, étant à 18 ans un comédien très affirmé, qui travaille de façon très rigoureuse.

 

Pierre Lefebvre, qui a beaucoup de recul, d’humour et d’élégance, a été le dernier à rejoindre l'équipe, pour interpréter Paul, le personnage sans doute le plus complexe.


 

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 Julien Crampon, Max Clavelly et Pierre Lefebvre

 

 

 
Firmine Richard, qui a commencé sa carrière vers 40 ans, a aimé jouer avec ces enfants, qui l'ont impressionnée par leur naturel et leur maturité, en particulier les trois jeunes acteurs qu'elle a trouvés intelligents, déterminés et travailleurs.
  
Film participatif

Le film produit par Mazel Productions était ouvert à la participation du public par le biais du site Touscoprod.com

 

 

 

 

Pour visionner la bande-annonce ... Cliquez ICI !

 

 



Sources :

http://www.allocine.fr

30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 23:12
a
Date de sortie cinéma : 1er juillet 2010 




Réalisé par J Blakeson

Avec Gemma Arterton, Eddie Marsan, Martin Compston

Titre original : The Disappearance of Alice Creed

Long-métrage britannique . Genre : Thriller

 
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Gemma Arterton

Synopsis :
Dans un quartier huppé, deux hommes enlèvent une jeune femme : Alice Creed.
Qui sont-ils ?
Que veulent-ils ?
Pourquoi elle ?


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Eddie Marsan et Martin Compston

La disparition d'Alice Creed est le premier long métrage réalisé par J Blakeson. Ce dernier a déjà réalisé deux courts-métrages: Pitch Perfect en 2005 et The Appointment en 2009. Il s'est également essayé à l'écriture de scénario. Il a notamment signé celui de The Descent : Part 2 en 2009 et celui de La disparition d'Alice Creed.
Si le tournage s'est déroulé entièrement (quatre semaines en tout) sur l'île du Man, c'est parce qu'il est produit par la société Cinemanx et que le réalisateur a pu bénéficier des aides financières et du soutien de l’Île de Man, un archipel anglais indépendant. Le film a également été tourné de façon chronologique, fait qui reste assez rare pour le signaler.

Pour le réalisateur, le rôle de la prisonnière, tenu par Gemma Arterton était de loin le plus dur à interpréter. Il explique en quoi consistait la performance de l'actrice : "Le plus dur pour elle a été de se voir réduite à l’état d’objet, attachée et vulnérable. Pendant toute la première partie du film, soit on ne voit pas son visage, soit elle est terrifiée. Il fallait donc qu’elle gère parfaitement sa concentration pour se mettre dans cet état psychologique. En réalité, ça a été une épreuve physique plus qu’un challenge d’interprétation. Elle devait trouver en elle cette intensité et cette peur, sans pour autant se limiter à incarner une victime qui pleure et qui crie."


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Gemma Arterton

L’image de La disparition d'Alice Creed rappelle les films des années 70 et ce grâce au travail du directeur de la photographie Philipp Blaubach. Le réalisateur raconte: "Il avait travaillé sur Ultime Evasion et sur Hush, un thriller horrifique à petit budget. Je voulais une image très stylisée. Philipp a immédiatement partagé mes références et ma vision du film. Nous avons parlé des choix de caméra, d’objectifs et nous avons opté pour une caméra numérique RED. Nous avons également regardé quelques films ensemble. Il fallait offrir une image aussi belle et chaude que possible dans cet univers pourtant assez laid. C’est Martin Compston qui en a le plus profité, car il est parfois entouré d’une sorte de halo de lumière qui le rend vraiment très beau. Pour la chambre, en revanche, je voulais parfois me rapprocher d’Alien et de ces films de science-fiction des années 70, avec une lumière plus crue, plus inquiétante. Nous avions deux façons de montrer la même pièce."


Entretien avec J Blakeson,  Cliquez ICI !
 
Le film a été présenté au Festival du film de Londres en 2009 ainsi qu'au Festival international du film de Toronto avant d'être présenté au Festival du film de Tribeca en 2010.



Pour visionner la bande-annonce ... Cliquez ICI !




Sources :
http://www.commeaucinema.com
http://www.allocine.fr

 

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