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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 23:59

 

 

   
Avec le même plaisir d'hier à aujourd'hui !

Un clic sur l'affiche pour lire l'article consacré à ces films !


 

Trillers, Policiers, Guerre, Espionnage ...

 

 

18821587.jpg.Mystic-River---Affiche.The Constant Gardener - Affiche.Une femme dangereuse Affiche 2.Affiche 2.Affiche 1.Affiche.Thief - Affiche 2.1308688070_peur-primale-affiche_40044_5762.jpg.Affiche.Affiche.Un après-midi de chien - Affiche.Find me guilty - Affiche 2.Les 3 jours du Condor - Affiche.L Elite de Brooklyn - Affich.

 


 Assurance sur la mort - Affiche.Laura - Affiche 1.Crime Passionnel - Affiche 1.Whirlpool - Affiche-copie-1.

 


Dans la Chaleur de la nuit - Affiche.Chinatown - Affiche.19621657.jpg.Braquage à l'Italienne - Affiche.Le coup de l'escalier - Affiche.


Serpico Affiche.Marathon Man - Affiche-copie-1.Les Hommes du Président - Affiche.A cause d'un assassinat -Affiche 1.L'Asassin - Affiche 


.19642417.jpg.Vivement Dimanche ! Affiche.Affiche 2.Gone Baby Gone - Affiche.Affiche.Affiche.Démineurs - Affiche-copie-1.Le-Train - Affiche 2.Sur les Quais - Affiche.La-Colline-des-Hommes-perdus---Affiche.jpg.Les incorruptibles - Affiche.The Offence - Affiche.Mark-Dixon--detective---Affiche.jpg.Il faut sauver le Soldat ryan - Affiche

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 19:00


Date de sortie 26 février 2014

 

The-Grand-Budapest-Hotel---Affiche-1.gif


Réalisé pa Wes Anderson


Avec Ralph Fiennes, Tony Revolori, F. Murray Abraham,

Adrien Brody, Willem Dafoe, Mathieu Amalric, Jeff Goldblum,

Harvey Keitel, Jude Law, Bill Murray, Saoirse Ronan,

 Edward Norton, Tilda Swinton


Genre Comédie


Production Américaine

 

Oscars 2015

 

- Meilleurs costumes pour Milena Canonero

- Meilleure Direction Artistique pour Adam Stockhausen et Anna Pinnock

- Meilleure bande originale Alexandre Desplat

- Meilleurs maquillages et coiffures Frances Hannon et Mark Coulier

 

 

Wes Anderson et le scénariste Hugo Guinness confient avoir un ami en commun qui leur a inspiré, par la singularité de son esprit, le personnage de Gustave, le concierge de l’hôtel. Le réalisateur a ensuite intégré cet homme hors du commun dans une station thermale du XXème siècle, située dans un pays européen fictif : Zubrowka.

 

D'après lui, The Grand Budapest Hotel serait un melting pot "de comédies d’avant la censure des années 30, ainsi que les histoires et les mémoires de l’auteur viennois Stefan Zweig".

 

Pour les comédies, il pense à Rendez-vous réalisé par Ernst Lubitsch en 1940, où l'intrigue se déroule à Budapest et à un des seuls films musicaux qu'il apprécie, Love me tonight de Rouben Mamoulian en 1932. Pour la littérature, il cite "Eichmann in Jerusalem" d’Hannah Arendt et "Suite française" d’Irène Némirovsky.

 

The-Grand-Budapest-Hotel---Ralf-Fiennes.gif


Ralph Fiennes

 

Wes Anderson a pour principe de ne jamais faire comme tout le monde, y compris lorsqu'il manie sa caméra. Le réalisateur a confié qu'il avait réalisé The Grand Budapest Hotel sous trois formats de projections différents : en 1.37 :1 pour la période des années 30, en format large anamorphosé pour les séquences des années 60, et en 1.85 : 1.

 

Trois rapports à l'image pour un montage en trois étapes.

 

Le palace rose bonbon qui sert à l'intrigue de The Grand Budapest Hotel n'est pas un décor monté de toutes pièces. Le lieu existe réellement et c'est le Görlitzer Warenhaus, un ancien grand magasin historique d'un centre commercial construit en 1912 à la frontière de l'Allemagne, la Pologne et la République Tchèque.

 

 

Cet établissement qui a l'allure d'une maison de poupées emprunte son architecture à l'équivalent de l'Art Nouveau en Allemagne et s'étend sur une superficie de 10 000 mètres carrés où l'équipe du film a d'ailleurs installé ses bureaux et ses ateliers. À noter que c'est la première fois que Wes Anderson posait sa caméra en Allemagne.

 

Synopsis

 

Le film retrace les aventures de Gustave H (Ralph Fiennes), l’homme aux clés d’or d’un célèbre hôtel européen de l’entre-deux-guerres et du garçon d’étage Zéro Moustafa (Tony Revolori), son allié le plus fidèle.


La recherche d’un tableau volé, oeuvre inestimable datant de la Renaissance et un conflit autour d’un important héritage familial forment la trame de cette histoire au coeur de la vieille Europe en pleine mutation.

 

Ralph-Fiennes-Adrien-Brody-et-Ralph-Fiennes.gif Adrien Brody et Ralph Fiennes

 

C'est l'acteur Johnny Depp, encore jamais crédité dans les films de Wes Anderson, qui devait initialement interpréter le rôle principal du concierge-voyou Gustave H.Finalement, l'acteur britannique Ralph Fiennes prendra sa place, rejoignant pour la première fois le casting flamboyant du réalisateur américain : "Cette première collaboration avec Wes Anderson m’a beaucoup inspiré, il a vraiment une vision du monde unique. Avec ce film, il a créé un vrai film de cambriolage comique, avec des déguisements, des poursuites, des évasions, sans jamais se départir de ce ton doux-amer qui fait sa marque."

 

The-Grand-Budapest-Hotel---Jeff-Goldblum.gif.The Grand Budapest Hotel - Owen Wilson

.The-Grand-Budapest-Hotel---Bill-Murray.gif.The-Grand-Budapest-Hotel---Ralph-Fiennes.jpg

.

Ce n'est pas la première fois que Wes Anderson propulse ses protagonistes dans un grand hôtel. Déjà en 2001 dans La Famille Tenenbaum, le paternel irresponsable Royal Tenenbaum interprété par Gene Hackman se faisait embaucher comme liftier au Lindberg Palace, afin de prouver à sa famille qu'il pouvait s'assumer. Royal Tenenbaum formait un duo avec son acolyte, l'ancien serviteur de la maison familiale. Un duo qui peut faire penser à celui du concierge M. Gustave, Ralph Fiennes et de son jeune protégé Zero Moustafa, joué par Tony Revolori.

 

C'est Angela Lansbury, la détective et romancière de la série Arabesque, qui devait initialement interpréter le rôle de la comtesse Madame D. Mais pour des raisons d’emplois du temps c’est la flamboyante Tilda Swinton qui la remplace.

 

Tilda Swinton, qui a déjà collaboré avec Wes Anderson pour Moonrise Kingdom, incarne ici la comtesse Céline Villeneuve Desgoffe und Taxis, alias Madame D, veuve de 84 ans et amie de Gustave H. Sa transformation physique a demandé un travail tellement colossal pour l'équipe que l'actrice de 53 ans devait passer jusqu'à cinq heures par jour entre leurs mains : "Elle n’avait jamais encore eu un tel look. Elle était couverte de prothèses : les bras, la poitrine, le cou, le dos ; elle avait une immense perruque, des lentilles de contact pour la cataracte, les dents d’une vieille femme, jusqu’au lobe des oreilles. Rien n’a été oublié", détaille Frances Hannon, en charge de la coiffure, des prothèses et du maquillage sur le plateau.

 

Tilda Swinton Ralph-Fiennes---Tida-Swinton.gif

 

Forme de moustache similaire et paires de lunettes vintage : pas de doute, les Britanniques Tom Wilkinson et Jude Law incarnent la même personne. En effet, le premier prête ses traits au personnage de l'auteur, qui n'est autre que l'écrivain du roman fictif "The Grand Budapest Hôtel". Le second est crédité comme étant le jeune auteur, qui a vécu dans ce même hôtel tout juste avant qu'il ne ferme ses portes.

 

L'acteur Owen Wilson, bien connu des réalisations de Wes Anderson depuis son premier long-métrage Bottle Rocket réalisé en 1996 avait disparu des génériques du réalisateur américain. Effectivement, s'il prêtait sa voix au coach Skip dans Fantastic Mr Fox en 2010, l'acteur n'était pas présent dans Moonrise Kingdom. The Grand Budapest Hotel marque donc le retour d'un de ses acteurs fétiches, avec qui il collabore pour la septième fois, à égalité avec Bill Murray.

 

Avec Tony Revolori, Saoirse Ronan est la plus jeune de ce casting quatre étoiles, actrice irlandaise âgée de 19 ans, endosse le rôle d'Agatha, remarquable cuisinière de la pâtisserie Mendl, et dont Zero va tomber éperdument amoureux. Elle concocte une gourmandise réputée dans toute la république de Zubrowka : la Courtisane au chocolat. Nommée aux Oscars à seulement 13 ans pour son second rôle dans le mélo rétro Reviens-moi de Joe Wright réalisé en 2007, Saoirse Ronan se réjouit de sa collaboration avec Wes Anderson : "Je me souviens du premier jour où je suis arrivée sur le plateau. Il y avait une activité folle partout. Des gens couraient, tout le monde était remonté comme un coucou, parce que Wes sait très exactement ce qu’il veut quant au style et à l’aspect visuel. On voyait tout de suite que tout le monde était au top, chacun dans son secteur."

 

   The-Grand-Budapest-Hotel---Tony-Revolori-et-Saoirse-Ronan-gif

 

Tony Revolori et Saoirse Ronan

 

Pour recréer l'ambiance des années 30 et rendre crédible ce bond dans le passé, la chef costumière du film, Milena Canonero, a puisé dans un autre art que le cinéma : la peinture. En effet, pour confectionner ces costumes d'époque, elle s'est imprégnée des tableaux du peintre symboliste autrichien Gustav Klimt : "Pour moi, un film est comme un tableau. On regarde tout, on ne se contente pas de se concentrer sur les sujets principaux. Il faut être capable de donner une identité au moindre personnage, jusque dans le fond de l’image."

 

Depuis leur collaboration sur Fantastic Mr. Fox en 2009, le compositeur Alexandre Desplat n'a plus quitté le générique des réalisations de Wes Anderson. Après la musique au pas de charge de Moonrise Kingdom, le musicien a oeuvré à l'orchestration de The Grand Budapest Hotel, où plane une musique tout à fait singulière puisqu'elle est composée à base de sonorités atypiques, telles que les balalaïkas, le cimbalom moldave, ou encore le yodel, des instruments originaires d'Europe Centrale.

 

The-Grand-Budapest-Hotel---Affiche.gif

 

Cette nouvelle réalisation ne déroge pas à la règle et arbore le même type d'affiche que les précédents longs-métrages de Wes Anderson. Etiquetés en porte-clés, les personnages font face à la caméra, comme dans À bord du darjeeling limited et La Famille Tenenbaum,. Alignés les uns à côtés des autres dans de petites cases, on retrouve ce côté du cadre trop étroit pour accueillir tout le monde, comme sur l'affiche de La Vie aquatique. Une fois de plus, l'affiche de The Grand Budapest Hotel met en avant la grande famille d'acteurs du réalisateur, comme si, par excès de générosité, il voulait mettre tout le monde en haut de l'affiche.

 

 

 

Mon opinion :

 

Un grand voyage en compagnie d'un merveilleux casting, d'une musique parfaitement adéquate signée, une nouvelle fois par Alexandre Desplat, le tout dans des décors souvent enchanteurs.

 

Chaque chose est à sa place, et tous les personnages sont justes, aussi courtes soient certaines participations. La patte du réalisateur est bien présente et devrait satisfaire les inconditionnels, en dérouter d'autres, peut-être aussi.

 

Cet huitième long-métrage de Wes Anderson captive d'emblée et démontre une fois encore sa volonté délibérée pour la précision apportée au moindre détail.

 

Le réalisateur fait référence à Stefan Zweig, et nous emmène dans une histoire qui peut sembler brouillonne mais dans laquelle on ne se perd jamais. Allant de l'entre deux guerres à la montée du nazisme, il ne se sert servir d'aucune de ses périodes pour appuyer son propos. Les dialogues sont fins, drôles et frappent au bon moment.

 

Wes Anderson mène la danse et entraîne le spectateur dans la folle insouciance d'un pur moment dédié au seul plaisir du cinéma.

 

Des artistes magnifiques. Il faudrait pratiquement tous les citer. Adrien Brody, l'incroyable Willem Dafoe, la méconnaissable Tilda Swinton ou encore Edward Norton et Harvey Keitel. Mais celui qui mène la danse et avec quel talent c'est le merveilleux Ralph Fiennes. Que du plaisir.

 

Un vrai moment de détente avec un film qui fait du bien.

 

 

Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.imdb.com

http://evene.lefigaro.fr

26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 17:30


Date de sortie  26 février 2014

 

Un-ete-a-Osage-County---Affiche.gif


Réalisé par John Wells


Avec Meryl Streep, Julia Roberts, Ewan McGregor,

Margo Martindale, Chris Cooper, Benedict Cumberbatch, Abigail Breslin,

Julianne Nicholson, Dermot Mulroney, Sam Shepard, Juliette Lewis


Titre original August: Osage County

Genre     Comédie , Drame
 
Production Américaine

 

Un été à Osage County est adapté de la pièce de théâtre américaine August : Osage County qui a remporté quantité de Tony Awards  en 2008 :


 Meilleure pièce,

Meilleure mise en scène,

Meilleure actrice pour Amy Morton dans le rôle de Violet,

Meilleure actrice dans un second rôle pour Rondi Reed dans le rôle de Mattie

Meilleurs décors

 

Jouée à Broadway puis à Chicago et à Londres, la pièce a été écrite par Tracy Letts, lauréat du prix Pulitzer, celui-ci signe également l'adaptation pour le grand écran 


Un été à Osage County a remporté aux Hollywood Awards 2013 un prix d'interprétation pour la performance de Julia Roberts et un second prix pour le casting en tant que groupe.

 

 

 

 

Synopsis

 

En famille, on se soutient. En famille, on se déchire...

 

Dans le clan des Weston, le patriarche Beverly Weston (Sam Shepard) disparaît lors d'une chaude nuit d'été. Sa femme, Violet (Meryl Streep) souffre du cancer ainsi que d'une addiction aux médicaments.

 

Beverly Weston a décidé d'embaucher Johnna (Misty Upham), pour aider Violet.  

 

Suite à la disparition de leur père, les soeurs Weston se retrouvent dans la maison familiale d'Osage County.

 

Elles ont grandi ensemble, avant de construire leurs vies respectives, et se retrouvent auprès de leur mère malade, paranoïaque, lunatique et abusive.

 

August - Osage County - Meryl Streep


Meryl Streep

 

On retrouve quelques jours plus tard  Beverly. Il s'est suicidé.


Pour Barbara Weston (Julia Roberts), revenir dans la maison famliale est une épreuve. Alors que sa vie de couple avec Bill (Ewan McGregor) part en lambeaux, elle doit renouer avec sa mère acariâtre qui lui reproche de s'être trop éloignée.

 

Barbara a beau prendre sur elle, elle a beaucoup de mal à se contenir quand sa mère lui affirme qu'elle était la préférée de son père.

 

Elle-même comprend mal sa fille  Jean, (Abigail Breslin) désormais adolescente, qui fume des joints.

 

De leurs côtés, ses soeurs Ivy (Julianne Nicholson) et Karen (Juliette Lewis) traînent également des pieds car elle nourrissent pas mal de rancoeurs vis-à-vis de leur mère.

 

Des secrets et des rancœurs trop longtemps gardés vont brusquement refaire surface…

 

August---Osage-County.gif

 

John Wells, qui a vu la pièce plusieurs fois, a explique avoir travaillé avec Tracy Letts "pendant un an et demi sur le scénario, la plus grand difficulté était de décider ce qu'on allait garder de la pièce ou pas".

"Tout était au théâtre très beau et important mais une pièce c'est avant tout le mot alors que le cinéma, c'est avant tout l'image. Donc on s'est demandé ce que l'on ne pouvait pas voir sur scène et que le film permettrait de montrer".

Meryl Streep, avait vu la pièce "il y a 6 ou 7 ans" avouant avoir été "totalement sous le charme", entre rire et émotion. Cela dit, elle n'aimerait pas camper Violet "huit fois par semaine" sur scène, même si par essence "il s'agit d'un personnage théâtral". "Il y a de la démesure en Violet une sorte de violence, de démence poussée à son paroxysme (…) une détermination à rester en vie au prix de toute autre vie", dit-elle encore. "C'est quelque chose qu'on ne peut pas sous-jouer".

 

Extrait tiré de l'article paru sur cinema.nouvelobs.com le 23 février 2014

 

Le tournage du film a eu lieu dans l'Oklahoma.

 

Au départ, John Wells s'est rendu dans plusieurs États afin de faire des repérages. C'est finalement l'Oklahoma qui a attiré le cinéaste, par la beauté de ses paysages et le côté atypique de ses habitants.

 

John Wells a réuni un casting d'acteurs et de réalisateurs qu'il a brièvement ou longuement rencontrés au cours de sa vie.

 

Une belle histoire de famille, à l'image du film qu'il présente : "Dermot Mulroney autrefois, habitait en face de chez moi. J'ai déjà travaillé avec Julianne Nicholson, et Juliette Lewis avait travaillé avec mon frère qui, pendant longtemps, a été directeur de production. Et ma mère a été sa prof d'art dramatique quand elle avait 15 ans".

 

Quant à George Clooney, l'un des producteurs du film, il raconte que "George et moi, on s'est rencontrés sur la série Urgences qui, aussi difficile à croire que ça puisse paraître, remonte à une vingtaine d'années !"

 

August---Osage-County---Julia-Roberts.gif

 

 

Il semble que Julia Roberts ait pris goût aux longs-métrages adaptés d'une pièce de théâtre. Après le film de John Wells, on devrait la retrouver dans A Normal Heart, un téléfilm américain réalisé par Ryan Murphy d'après la pièce éponyme de Larry Kramer. La diffusion est prévue au cours de l'été 2014.

 

Dans une des scènes de August : Osage County , Julia Roberts devait gifler violemment Meryl Streep, sa partenaire à l'écran. Une scène qui a énormément gêné la célèbre actrice.

 

 

 

 

 

Chris Cooper retrouve le réalisateur John Wells, 3 ans après The Company Men, premier long-métrage du cinéaste.

 

 

Mon opinion :

 

Le film ne serait pas tiré de la pièce de Tracy Letts, il serait facile de penser que le seul rôle de Violet ait été écrit pour Meryl Streep. Entourée d'un casting des plus prestigieux, l'actrice s'en donne à cœur joie et tombe dans la démesure, qui correspond cependant et parfaitement, à son rôle. Un de ceux que l'Académie des Oscars affectionne particulièrement.

 

L'intégralité du propos, est excessif. Les effets qui passent au théâtre, sont trop attendus sur le grand écran pour donner une quelconque surprise. Les dialogues sont souvent durs, parfois carrément vulgaires, et ne dénotent pas dans le morne décor de cette maison perdue dans les plaines de l'Oklahoma. Les rares images de ces étendues de plaines, coupées par des routes sans fin, sont assez belles, et soulignent parfaitement la solitude de l'endroit.

 

L'ensemble du casting est tout à fait remarquable. Margo Martindale en particulier. Odieuse à souhait elle représente le parfait trait d'union des membres de cette famille. Une de celles dont on ne voudrait pas faire parti.

 

Sam Shepard, dans sa courte participation fait preuve, une fois encore, d'un grand talent avec cette incroyable présence qui fait  toute la différence.

 

Le plus d' Un été à Osage County reste la prestation de Julia Roberts. Loin d'être un "second rôle" sa seule présence illumine le film et retient l'attention. Loin d'être favorisée par les maquillages, costumes ou autres effets, elle prouve, si besoin en était, tout son talent de comédienne.


 

August--Osage-County.gif

 


Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

http://www.imdb.com

23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 22:50

 

Date de sortie 19 février 2014

 

Gloria---Affiche-1.gif


Réalisé par  Sebastián Lelio


Avec Paulina García, Sergio Hernandez, Marcial Tagle,

Diego Fontecilla, Fabiola Zamora, Antonia Santa María


Genre Comédie Dramatique


Production  Chilienne

 

 

Le réalisateur, Sebastián Lelio s’est directement inspiré de sa mère pour écrire son film avec Gonzalo Maza.

 

Le réalisateur chilien souhaitait mettre en lumière la génération de ses parents oubliée selon lui par le cinéma.

 

 

Présenté en compétition officielle et nominé pour L’Ours d’Or à Berlin en 2013, le long-métrage n’est pas reparti bredouille. En effet, Paulina García a été désignée Meilleur actrice du prestigieux festival pour son incarnation de Gloria, recevant ainsi L’Ours d’Argent. De son côté, Sebastián Lelio a remporté le prix du jury oecuménique à Berlin.

 

Au Festival international du film de Hawaii 2013, Paulina García a reçu le prix de la meilleure actrice.

 

Les portraits de femmes quinquas courent rarement les écrans. Celui-ci, universel et d’une remarquable justesse, sur la solitude des seniors et la difficulté de refaire sa vie passé un certain âge, tient sur sa mise en scène discrète et sur les épaules de Paulina Garcia, star du théâtre et de la télé chiliens. Selon Nicolas Schaller pour cinema.nouvelobs.com.

 

 

Gloria---Paulina-Garcia.gif


Paulina Garcia

 

Synopsis

 

À 58 ans, Gloria (Paulina García) se sent toujours jeune et vit seule.

 

Divorcée depuis des lustres, Gloria a deux enfants, aujourd’hui adultes. Elle connaît les chansons de variété à l’eau de rose par cœur et partage son temps entre son travail et un couple d’amis.

 

Gloria---Paulina-Garcia-copie-2.gif

 

Elle fait de sa solitude une fête et passe ses nuits dans les dancings de Santiago. Quand elle rencontre Rodolfo (Sergio Hernandez), tout change.

 

Elle tombe amoureuse et s’abandonne totalement à leur passion tumultueuse.

 

Traversée tour à tour par l'espoir et les désillusions, ce qui pourrait la faire sombrer va au contraire lui permettre d'ouvrir un nouveau chapitre de sa vie.

 

 Gloria---Paulina-Garcia-et-Sergio-Hernandez.gif

 

Sergio Hernandez et Paulina Garcia

 

 

Dès le début, Sebastian Lelio imaginait son héroïne avec des lunettes : "Quand il a fallu rationnaliser son look, j’ai travaillé avec un optométriste pour trouver le bon format de lunettes pour que ses yeux ne disparaissent pas derrière la monture".

 

Pour construire le look de Gloria, le réalisateur s'est inspiré des mangas japonais, où les personnages ont des yeux sur-humains, les rendant davantage humains. La monture ronde des lunettes est également un clin d'oeil au film Tootsie réalisé par Sydney Pollack en 1982 et "à ce personnage toujours souriant, vif, joyeux, drôle."

 

Gloria---Paulina-Garcia-copie-1.gif

 

Paulina Garcia

 

 

Paulina García a accepté le rôle de Gloria sans même avoir lu le scénario du film. Ce n’est même qu’après avoir obtenu l’aval de l’actrice que Sebastián Lelio et Gonzalo Maza ont commencé à rédiger ledit scénario, qu'ils achevèrent deux ans et demi plus tard. Ce n'est que trois mois avant le tournage que l'équipe du film a mis la main sur le titre, qui fait également office de prénom pour l'actrice principale.


Le réalisateur rend ainsi un hommage détourné à Gena Rowlands, la Gloria de John Cassavetes, et peut faire danser son actrice à la fin du film sur le titre éponyme d'Umberto Tozzi.

 

 

Gloria---Sergio-Hernandez-et-Paulina-Garcia.gif

 

Sergio Hernandez et Paulina Garcia

 

 

Mon opinion

 

 

Des histoires différentes, mais les femmes sont à l'honneur sur le grand écran.

C'est bien ainsi.

 

Après, entre autres,  Catherine Deneuve devant la caméra d'Emmanuelle Bercot, Karin Viard dans le film de Solveig Anspach, Luminita Gheorghiu dans celui de Călin Peter Netzer ou la formidable Judi Dench dans Philomena, voilà aujourd'hui la magnifique et talentueuse actrice Chilienne, Paulina García.


Une grande découverte en ce qui me concerne.  Gloria ou la vie à soixante ans.

 

Divorcée, deux enfants adultes, et seule, elle mène sa vie entre soirées dansantes, quelques amis, beaucoup de fumée et de bonnes rasades d'alcool. Plus encore, avec une savoureuse réunion familiale à l'occasion de l'anniversaire de son fils.

 

Du début, à la fin du film, la caméra de Sebastián Lelio s'accroche à son parcours de femme seule, mais pas solitaire, avec une grande finesse. Beaucoup de pudeur aussi, dans les quelques scènes, où le réalisateur n'hésite pas à dévoiler l'entière nudité de son actrice.

 

Gloria chante, souvent. Dans sa voiture, dans son intimité, aussi, sur des airs populaires. Est-ce pour meubler un silence assourdissant ?

 

Une rencontre enfin, et des présentations officielles.

 

C'est une femme gaie, toujours souriante, ou presque, un regard pétillant mis en valeur par une paire de lunettes savamment choisie, une femme d'une grande délicatesse aussi. Une de celle qui n'a pas besoin de rassembler les canons de la beauté, tels que définis par les diktats de notre époque, pour en être pas moins belle.

 

Elle est plus que ça. Vivante ! L'amie idéale.

Et pourtant, dans son histoire, la lâcheté sera au rendez-vous.

 

Cette histoire toute simple m'a ému.

 

Le talent, le charisme et la simplicité de Pauline Garcia, y sont pour beaucoup. Voilà un Ours d'argent, récompense de la meilleure actrice, largement mérité à lors de la dernière Berlinale. 

 

 

 

Sources

http://www.allocine.fr

http://www.imdb.com

23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 21:00

 

AIME-et-fais-ce-que-tu-veux---Affiche.gif 


Réalisé par Malgorzata Szumowska


Avec  Andrzej Chyra, Mateusz Kosciukiewicz, Lukasz Simlat,

Maja Ostaszewska, Maria Maj, Kamil Adamowicz, Tomasz Schuchardt

 

Titre original W imie...

 
Genre Drame


Production Polonaise


Date de sortie en salles le 1er janvier 2014

 

AIME et fais ce que tu veux a remporté l

e Teddy Award du meilleur film lors de la Berlinale 2013.

 

Le Mélies à Pau présente 

 

AIME et fais ce que tu veux

 

Queer-Pix

 

 

Dans le cadre de la 11ème édition du film LGBT de Pau

en partenariat avec IDEM

Informations, Droits, Egalité, Mouvement Mixte

 


 

Les Vendredi 21 février à 22h30 et Dimanche 23 février à 15h30

 

Aime-et-fais-ce-que-tu-veux.gif

 

Alors que les médias se bornent à rapporter des histoires d’abus sexuels mettant en scène des prêtres, Malgoska Szumowska a souhaité s’intéresser à la psychologie de l’homme de foi et montrer l’amour que ce dernier pouvait ressentir :

 

"J’ai volontairement décidé de m’éloigner d’un fait-divers, et j’ai voulu réaliser un film sur la solitude terrible du prêtre. Je voulais montrer l’amour, le besoin d’amour, même si, du fait de sa nature, l’amour que je décris est considéré comme un pêché", indique la réalisatrice.

 

AIME et fais ce que tu veux est né suite à un travail de longue haleine de la part de Malgoska Szumowska. Cette dernière a, en effet, pris quatre années pour écrire et peaufiner son histoire, suite à la lecture d’une nouvelle rapportant le meurtre d’un prêtre par un jeune garçon.

 

AIME-et-fais-ce-que-tu-veux---Andrzej-Chyra.gif

 

Andrzej Chyra

 

Synopsis

 

 

Adam (Andrzej Chyra), jeune jésuite charismatique rejoint une paroisse rurale et s’occupe d’un foyer accueillant de jeunes adultes en grandes difficultés.


Par son implication, il suscite rapidement l’admiration de tous.

 

Un jour, il croise la route de Lukasz (Mateusz Kosciukiewicz), beau, passionné et un peu paumé. Le jeune prêtre est bouleversé par cette rencontre.

 

Pour défendre le père Adam, Lukasz en vient aux mains avec l'un des pensionnaires du foyer, un certain Adrian dit "Blondi" (Tomasz Schuchardt). Gueule d'ange et âme damnée.

 

Aime-et-fais-ce-que-tu-veux---Tomasz-Schuchardt.gif Tomasz Schuchardt


Habité par une foi véritable mais rongé par la culpabilité, Adam tente en vain de lutter contre cet amour naissant…

 

  Aime et fais ce que tu veux - Mateusz Kosciukiewicz et Andr

 

Mateusz Kosciukiewicz et Andrzej Chyra

 

 

S’attaquer à un sujet comme l’amour des prêtres n’est pas chose aisée, surtout dans une Pologne encore très catholique : "Lors de l’écriture, j’avais une forte appréhension sur la réaction qu’un tel sujet pouvait susciter notamment auprès de la droite conservatrice et des milieux proches de l’Église. Il règne encore dans ce pays un tabou très fort et ce, malgré l’influence des médias qui abordent ce sujet de plus en plus librement (…) En Pologne, nous avons encore beaucoup de mal à accepter les différences", explique la réalisatrice.

 

Malgré ses peurs, la Polonaise n’a pas abandonné son idée.

 

"Pendant un temps, j'ai été catholique. Le prêtre d'Aime et fais ce que tu veux est une somme de différents prêtres, fruit de mes observations. Il y a longtemps que j'ai voulu faire ce film", explique Malgoska Szumowska, la réalisatrice. "Sur l'homosexualité, libérée des stéréotypes. Pour décrire ce qui se passe autour de nous."

 

"J'ai toujours aimé les sujets qui dérangent", explique-t-elle, persuadée que si le cinéma polonais n'arrive pas à s'imposer dans d'autres pays, c'est parce que ses représentants ont du mal à sortir d'une problématique polono-polonaise et qu'ils ont du mal à aborder des sujets universels. "Trop souvent, on évite de parler de ce qui nous fait vraiment mal", conclut Malgoska Szumowska.

 

AIME et fais ce que tu veux

 

Comme la cinéaste le pensait, son film n’a pas manqué de susciter la polémique en Pologne à sa sortie, mais a replacé la question de la sexualité au centre des conversations :  

 

Le film a été plutôt bien reçu par l'ensemble de la critique, à l'exception notable de l'hebdomadaire clérical Gosc Niedzielny, qui dénonce des "scènes dégoûtantes de rapports homosexuels et de masturbation", et regrette que l'œuvre se place "dans un courant de la révolution des mœurs soutenu par les grands médias dominants qui a pour but la destruction de la famille traditionnelle".

 

"C'est ridicule", rétorque Malgoska Szumowska. "Mais si d'autres médias de droite et d'extrême droite évitent d'en parler ou n'attaquent pas ouvertement le film, c'est peut-être parce qu'ils se rendent compte qu'il a été remarqué dans d'importants festivals, comme à Gdynia, port de la baie de Gdansk, ou à Berlin. D'ailleurs, lors de sa sortie en Pologne, en septembre 2013, il a fait plus d'entrées que des comédies sentimentales ou des films d'action américains. Pour un film comme le mien qui a une ambition artistique, soit 200 000 spectateurs, c'est énorme", explique la réalisatrice dans une interview accordée à Iwona Ostapkowicz pour courrierinternational.com.

 

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La réalisatrice n’est pas une grande fan des castings. Aussi, elle se refuse à en effectuer et contacte directement les acteurs qu’elle a pu observer au cinéma, à la télévision ou au théâtre. Ce fut le cas pour Andrzej Chyra et Mateusz Kosciukiewicz, à qui elle pensait dès l’écriture du film.

 

Ce long-métrage marque la troisième collaboration entre Malgoska Szumowska et l’acteur Andrzej Chyra, après Ono réalisé en 2004 et Elles en 2011.


À noter qu'Andrzej Chyra tenait le rôle d'Alexei dans le magnifique film de Michale Boganim, La Terre outragée.

 

Concernant les seconds rôles, elle a misé sur la proximité. "Nous les avons trouvés autour du lieu de tournage, dans des petits villages. Ils étaient très agressifs au départ. Le fait que je mette beaucoup d’énergie dans la préparation et durant les répétitions m’a permis de passer du temps avec eux, de les observer avant de les choisir et d’être prête une semaine avant le tournage", révèle-t-elle.

 

 

Malgoska Szumowska et le coscénariste Michal Englert se connaissent depuis l’université où ils ont étudié le cinéma ensemble à Lodz.

 

 

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Mon opinion

 

 

À saluer, le courage d'une femme, la jeune réalisatrice, Malgorzata Szumowska, pour avoir porté à l'écran ce film dans une Pologne très catholique conservatrice et rétrograde. Premier point, avec à la clé, un succès reconnu dans son propre pays. Une belle ouverture, donc.

 

Le scénario, et ses nombreuses faiblesses, aboutit sur un montage des plus approximatifs. Le passage d'une scène à l'autre sans rapport évident entre elles, est assez déroutant.

 

Malgorzata Szumowska se garde bien d'émettre le moindre jugement. Elle démontre avec une certaine justesse la détresse et la grande solitude de ce jeune prêtre. Je retiens, entre autres, la scène dans laquelle il communique avec sa sœur, via Skype. Mais aussi les angoisses liées à cette attirance vers une relation interdite face à une foi profonde et bien réelle. Entre une homosexualité enfouie au plus profond, et l'hypocrisie de l'église catholique, le parcours est douloureux et le choix difficile.

 

La photographie est superbe mais l'action en pâtit à plusieurs reprises par trop d'excès de beautés appuyées. Certains passages n'apportent rien au propos, et rallongent inutilement ce film qui aurait gagné à plus de concision et de clarté. Notamment dans la scène de fin, qui laisse cependant toutes les ouvertures possibles.

 

Le choix de ses deux principaux protagonistes, Andrzej Chyra et Mateusz Kosciukiewicz, se révèle particulièrement judicieux. Tous deux, charismatiques à souhait, attirent d'emblée une grande sympathie. L'ensemble du casting, et tous les rôles, dits, secondaires, choisis, "autour du lieu de tournage" selon les déclarations de la réalisatrice s'avère d'une grande qualité. Avec une attention particulière pour Tomasz Schuchardt.

 

Quelques petits bémols qui n'enlèvent rien à la qualité première de ce film, celle d'éveiller les esprits. Je le souhaite en tout cas.  Nul doute que Malgorzata Szumowska, nous étonne à nouveau.

 

Ce film, qui ne semble pas avoir profité d'une large diffusion, me permet de saluer Le Méliès à Pau, pour l'avoir choisi dans sa programmation.

 

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Sources :

http://www.allocine.fr

http://www.cinemovies.fr

http://www.imdb.com

 

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"Le bonheur est la chose la plus simple,

mais beaucoup s'échinent à la transformer

en travaux forcés !"

 
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