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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 13:36

Aujourd'hui un rayon de soleil. Un coin de ciel bleu.

Mais surtout un magnifique téléfilm avec deux grands acteurs.

Luchon 5 février 2015. Les yeux ouverts.

Salle Claude Chabrol à 10 heures.

 

 - Les yeux ouverts. coeur (1)coeur (1)coeur (1)coeur (1)

 

Réalisé par Lorraine Levy


Avec Clémentine Célarié et Antoine Dulery,

 

aux côtés de Julien Boisselier, Liliane Rovère, Arly Jover, Yannick Soulier

 

Synopsis :


 

 

Anne (Clémentine Célarié) est pianiste de jazz et François (Antoine Dulery) vivent à Lille avec leurs deux enfants, Clara 16 ans et Lucien 10 ans. Cette famille très unie est une famille comme les autres. A ceci près Anne et François sont aveugles : la première de naissance, le second suite à un accident domestique survenu à l’âge de 7 ans.
 

 

 

Heureux dans leur vie professionnelle comme dans leur vie personnelle avec leurs deux enfants voyants, leur quotidien bascule le jour où on propose à François de lui greffer une cornée artificielle et de retrouver la vue.
Comment renait-on au monde après avoir été aveugle pendant presque 40 ans et quel "regard" un ancien non-voyant peut-il justement porter sur ce monde ?
Comment leur couple va-t-il résister à cette révolution copernicienne ? Pourront-ils vivre cette mixité dans la double acceptation de la différence de l’autre ?


Et au final, cette mixité est-elle vraiment possible ?

 

Mon opinion

 

Une formidable musique de jazz  dès le début du générique.

 

Anne, une pianiste non voyante de naissance excelle dans son art. Avec son mari Antoine non voyant également depuis l'âge de sept ans, ils mènent une vie normale au travers de leurs passions respectives et un amour véritable.

 

"La musique c'est une ligne droite qui va du cœur au bout des doigts.

On s 'en fout des yeux"

affirme Anne à un jeune élève.

 

La mise en scène de Lorraine Levy discrète et efficace laisse passer l'émotion quand après une opération, Antoine retrouve la vue. Anne se fait belle pour recevoir son mari. Il la retrouve attablée à une terrasse. Un moment magique. Sans perdre son incroyable sens de l'humour, Anne pose quantité de questions, sur les formes, les couleurs, toutes ces perceptions qui pour nous paraissent normales. Toute une aventure pour elle. Il fallait tout le talent de deux grands acteurs pour rendre cette émotion palpable, réelle, bouleversante aussi.

 

Réapprendre à lire et à écrire, découvrir tout un nouvel environnement pour Antoine. Le corps de sa femme, aussi.

 

Ne pas perdre confiance pour Anne qui reste dorénavant seule dans la cécité. C'est à partir de ce moment que la remarquable Clémentine Célarié donne toute la force de son talent au personnage qu'elle incarne, doublement handicapée depuis que son mari a recouvré la vue et dorénavant seule et prisonnière dans ce lourd handicap. Le doute annihile son bel optimisme. Une aventure sans lendemain avec un collègue musicien. Une envie d'en finir.

 

L'amour sera le plus fort avec une décision inexorable.

 

De grands et excellents acteurs pour ce téléfilm de qualité. Liliane Rovéré et Antoine Duléry.

 

Mais plus encore, la remarquable et étonnante Clémentine Célarié.

Un rôle à la hauteur de son talent qui pourrait être récompensé, à mon avis, par le Prix de Meileure Interprétation Féminine.

 

4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 23:59

 

La neige continue de tomber sur les Pyrénées.

 

Rien n'y fait. À Luchon, l'accueil et le sourire des bénévoles restent intacts.

 

Pour la troisième année consécutive je reconnais ma chance d'être accrédité à ce festival à nul autre pareil.

 

Un grand merci pour cette accréditation à Serge Moati, bien entendu.

 

À Claude Coret, qui met en avant la convivialité, la qualité et les échanges pour valoriser et continuer de mettre en avant cette ville, si bien nommée, Reine des Pyrénées.

 

Mais aussi une grande reconnaissance à Peggy Vauchel qui réunit tous les talents d'une incomparable attachée de presse.

 

Merci à vous tous.

Gala d'Ouverture avec :  Arletty, une passion coupable.coeur (1)coeur (1)coeur (1)coeur (1)


Réalisé par Arnaud Selignac.


Avec Laëtitia Casta, Marie-Josée Croze, Ken Duken et Jean-Philippe Ecoffey, entre autres.



Synopsis :

Paris vit sous le joug de l’Occupation allemande.

 

En plein tournage des Enfants du Paradis, Arletty (Laëtitia Casta), anticonformiste, continue de vivre au gré de ses envies. Alors qu’elle entretient une relation amoureuse avec Antoinette (Marie-Josée Croze), membre de la Résistance, elle tombe sous le charme d’un jeune officier allemand, Hans Jurgën Soehring (Ken Duken).


La liaison fera bruire le tout Paris, aussi bien dans les milieux collaborationnistes que résistants. Rien ne déstabilise la comédienne qui, portée par cet amour, refuse de se ranger dans un camp.

 

Ce qui lui vaudra une célèbre phrase, "Si mon cœur est français, mon cul, lui, est international"

 

Le portrait d’une époque trouble et complexe vue au travers de la vie d’une femme, icône de sa génération, finalement rattrapée par ses choix à l’heure de l’épuration.

Luchon 4 février 2015. Arletty, une passion coupable.

Mon opinion

 

L'occupation allemande.

 

Le film commence avec un anniversaire, celui d'Arletty. Portrait d'une femme libre qui ne s'effraie de rien, ni de personne. Elle affiche librement une double liaison avec Hans Jürgen Soehring, un officier allemand, d'une part et Antoinette, d'autre part.

 

Deux amours, vrais et dangereux dans le contexte de l'époque.

 

Sa liberté de paroles et d'actes restent liés à une farouche indépendance que rien, ni personne, ne peuvent  modérer.

 

"Un peu d'amour ça calmerait tout le monde" clame Arletty.

 

Les dialogues signés Jean-Luc Seigle sont brillants.

 

La mise en scène, d'Arnaud Selignac est d'une grande élégance. La reconstitution du tournage des Enfants du paradis, un très beau moment de cinéma.

 

Arletty, collabo ? Jamais. Amoureuse, toujours.

 

- "Où tu vas " ?

- "Faire une chose que la Résistance ne peut pas faire. La sauver",

 

dira l'héroïne à un moment du film.

 

Les bruits de la guerre ne résonnent que par intermittence. Essentiellement au travers des mots. Les horreurs de l'époque ne sont présentes que dans quelques passages. En lieu et place, nous assistons à un défilé de costumes somptueux signés David Belugou évoluant dans des décors fastueux de François Emmanuelli. Une réalité de l'époque indécente pour celles et ceux qui n'ont connu que malheurs et privations.

 

Il faudrait citer tout le casting, tant chaque rôle est porté avec talent et conviction. Marie- Josée Croze, Ken Duken, Joséphine Draï, Marc Citti, Natalia Dontcheva, Michel Fau, Mathieu Carrière, Jean-Philippe Ecoffey, Franck Victor, Roland Menou, Dominique Bastien, Xavier Lafitte, Lola Accardi.

 

Laëtitia Casta, enfin.

Non seulement très belle et élégante.

 

Dans des avalanches de situations qui la conduisent du plus haut, au plus bas, elle reste, de bout en bout, exceptionnelle.

 

Pour ma part,  une très grande et belle surprise !

3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 20:25
Luchon 2015 ! Compétition. Fictions unitaires.

 

Compétition - Fictions Unitaires

 

Le Jury  est composé de :

 

 Pascal Thomas - Président du jury

 

Il y a mille façons de manifester son point de vue critique. Il y a la critique de réflexe, celle du spectateur sortant de la salle, celle du journaliste écrivant son papier à chaud ; il y a la critique de réflexion, la critique des professeurs, la critique des historiens, la critique des cinéastes (en général la plus dure, mais ils ne la clament pas, ils se la chuchotent entre eux) bien d’autres... Il y a bien sûr la critique de Festival d’abord faite par le sélectionneur puis par son Jury. Quand j’étais Président de la Société des Réalisateurs de Films, j’avais voulu remettre à sa place, celle qui est au centre de toute création cinématographique, le réalisateur, sans lequel le film n’est rien. En redonnant à la Quinzaine une ligne éditoriale ouverte, nous étions tombés d’accord Olivier Père et moi, pour porter une même attention (un même amour ?) à tous les films ; fictions, documentaires (mais pour nous un documentaire est un film), films marginaux, films indépendants, films de genre pouvant même nous arriver de grands studios, car dans ces films populaires le renouvellement esthétique peut être aussi riche et puissant que dans les films conçus dans le secret des marges. C’est avec ce même esprit que je présiderai le Festival de Luchon qui - selon une confidence que m’a faite Serge Moati pour convaincre l’incorrigible (ou l’insupportable ?) amateur de salles de cinéma que je suis - accueille des réalisateurs qui ne démériteraient pas du Carrosse d’Or, trophée que j’ai imaginé pour la Quinzaine et qui honore des réalisateurs choisis par d’autres cinéastes, pour les qualités novatrices de leurs films et l’intransigeance de leur mise en scène. Pascal Thomas.

 

Catherine Arditi

Thierry Binisti

Sofia Essaidi

Dan Franck

David Kodsi

Eric Laugérias

Sophie Le Tellier

Stéphane Zidi

 

 

3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 20:24
Luchon 2015 ! Compétition. Documentaires. Séries/Mini-Séries.

 

 

Le Festival s’ouvre aux Documentaires

 

"Le Festival de Luchon a toujours voulu offrir à son vaste public le meilleur de la Fiction à la télévision. Une vitrine ! L’excellence de la télévision sur les hauteurs, celles des Pyrénées. Cette année, j’ai fait le choix de respirer encore plus large. Et comme le ciel sera dégagé nous accueillerons en notre 17ème édition les Documentaires, un genre créatif, vif, où notre pays et ses créateurs brillent au zénith". Serge Moati

 

Tonie Marshall
Présidente du Jury Documentaire du Festival des Créations Télévisuelles de Luchon, Pays de Comminges-Pyrénées

 

Cher Festival de Luchon,
Dans cette période où on croule sous les scenarii à lire, les écritures, les comptes, les bilans, les raseurs, et Charlie qui est parti, quoi de mieux que de s’échapper pour venir se lover quelques jours dans votre giron. Il paraît que l’air est pur, les gens gentils (plus je vieillis plus j’apprécie), et les programmes de qualité.
Je suis née dans la fiction, j’y suis restée vivre depuis, parfois j’ai l’impression d’être enfermée dans un film. Alors quand vous m’avez proposé de voir des documentaires, j’ai ouvert la petite, toute petite porte qui me reste pour m’échapper.
J’ai toujours regardé beaucoup de documentaires, et je crois que les points de vue de la plupart des réalisateurs se discernent beaucoup plus clairement que chez ceux qui oeuvrent dans la fiction. Un documentaire (archives, reportages, enquêtes, etc…), ne vous fait pas attendre, il est là et on sait très vite à qui on a à faire. Il y en a pas mal de paresseux, c’est aussi une industrie, mais la promesse est très souvent tenue. J‘ai seulement réalisé deux documentaires, mais je crois qu’un jour, je quitterai définitivement ces acteurs que j’ai tant aimé, pour partir seule ou presque, filmer le temps qu’il nous reste…
Bref, je vous remercie de m’avoir invitée, j’arrive avec grand plaisir…
 Tonie Marshall

 

Compétition officielle.

 


- DÉPRESSION, Une épidémie mondiale ? - Réalisé par Michèle Dominici

 

Selon l’Organisation mondiale de la santé, la dépression affecterait 350 millions de personnes dans le monde et le nombre de cas ne cesserait de croître. À la une des journaux, on parle d’épidémie… Au Japon, le nombre de personnes dépressives est passé ainsi de quelques dizaines de milliers dans les années 1990 à 250 000 en l’an 2000, jusqu’à atteindre plus d’un million aujourd’hui. Une tendance qui n’épargne aucun pays. Quant à la consommation mondiale d'antidépresseurs, elle a doublé en une décennie, de 2000 à 2011. Comment expliquer ces données alarmantes ? Comment nos sociétés en sont-elles arrivées à produire de la dépression à grande échelle ? Si la maladie laisse souvent l'individu seul face à sa détresse et à son histoire personnelle, ce film propose à l’inverse d’interroger les raisons collectives de notre désarroi. Du Japon à la Grèce en passant par l’Allemagne, les États-Unis, la Suisse et la France, des médecins, des philosophes, des sociologues, des anthropologues et des travailleurs sociaux, tous témoins et acteurs de ce phénomène, s'interrogent sur les racines et les conséquences de cette vertigineuse "épidémie".

Crises

Comment les chiffres sont-ils calculés ? D'après quelles données le diagnostic de dépression est-il posé, et par qui ? Comment l’arrivée d’une nouvelle classification des symptômes aux États-Unis (le DSM) a-t-elle bouleversé l’idée que nous nous faisions de la santé mentale et de nous-mêmes ? En croisant les regards, le film explore l’envers de notre monde contemporain, des exigences qu’il impose, des risques liés à une vision exclusivement pathologique des crises personnelles et collectives, qui ne propose à nos impasses qu'une solution médicamenteuse.

 

La Victoire de Samothrace, une icône dévoilée Réalisé par Juliette Garcias

 

Ce film propose de suivre un chantier exceptionnel, celui de la restauration d’une des plus grandes icônes du Louvre entre septembre 2013 et juin 2014. Une oeuvre autour de laquelle se pressent chaque année des millions de visiteurs mais dont l’histoire est encore mal connue du grand public et dont de nombreux pans restent aujourd’hui mystérieux, aux yeux même des historiens d’art.

 

En nous appuyant sur les grandes étapes de sa restauration, nous allons tenter de raconter l’histoire d’une sculpture sans tête ni bras, vieille de plus de deux millénaires, qui a fait le voyage d’une petite île grecque jusqu’en France, en pièces détachées, pour se retrouver dominant l’un des plus beaux espaces du Musée du Louvre : la Victoire de Samothrace.


Le papa des poissons - Réalisé par Anthony Martin

 

Enfant, aux côtés de son vieux tonton, Patrick Lamaison apprend à connaitre les Barthes de l'Adour, un marais dormant au pied de son village. Il s'éprend alors de ce lieu enchanteur. C'est grâce à la pêche qu'il découvre les secrets de ce monde aquatique d'une grande richesse.

Fervent amoureux de son marais, il décide à son tour de transmettre cet héritage, si cher. Le temps des vacances d'été, les pieds dans l'eau, canne à pêche à la main, Patrick entraîne un groupe d'enfants dans ses aventures.

Pour ces petits Barthais, deux mois d'apprentissages et d'émerveillements !

 

Le "papa des poissons" vous en dit plus. Cliquez ICI !

 

Les Présidents et l’argent - Un film écrit et réalisé par Lucie Cariès.

 

La question des rapports entre l’argent et la politique est au coeur des interrogations de nos démocraties. Mais la classe politique, comme les Français en général, répugne à la livrer au grand jour. En France, l’argent sent toujours le soufre. Comme s’il était forcément mal acquis. C’est bien sûr, un héritage de notre culture judéo-chrétienne qui jette la pierre aux marchands du temple. Dans la classe politique d’aujourd’hui, le mot argent garde un parfum de scandale. Le film plonge au coeur de la personnalité des 7 chefs d’Etat de la Vème République, va à la rencontre de leur pratique personnelle de l’argent et de la relation intime qu’ils entretiennent avec lui.


Mais que fait la Police ! - Un film de François Chilowicz et Anne Bettenfeld

 

 

 

Agressions, violences conjugales, vraies paniques et grandes solitudes ; c’est la police, les flics, les "keufs", comme ils nous entendent au quotidien, mais comme vous ne les voyez jamais.

Ça se passe au PC central du commissariat de Toulouse. Un huis clos de quelques nuits passées aux côtés des policiers, à leur rythme, à celui des histoires qu’ils entendent et des drames qu’ils sont les premiers à encaisser.

 

Toute ma vie, j’ai rêvé… - Un film de Christophe Otzenberger

 

Toute ma vie, j’ai rêvé… est un road movie décalé qui traverse des paysages physiques et mentaux. "Imagine, t’as une baguette magique, qu’est-ce que tu fais avec ?", Christophe Otzenberger veut titiller nos rêves et nos désirs engourdis. Lorsque la vie est trop vache et ne nous laisse pas le choix, nos rêves de grands enfants en disent peut-être plus sur nous que nos actes. Christophe Otzenberger veut en avoir le coeur net. Il transforme une vieille caravane en studio ambulant avec lumières et caméra. Direction la côte d’Opale qu’il connaît et qu’il aime. Sa caravane s’arrête devant une manufacture de dentelles, un café des sports, un jeu de Loto, le port de Boulogne-sur-Mer, une salle des fêtes en fête, un club de majorettes, une maison de retraite. Les rencontres au hasard du voyage deviennent des rencontres pour de vrai. L’intimité s’installe et les témoignages se déploient poignants, barrés, hilares, doux, âpres… Comme la vie.


Un Baptême du Feu - Un projet de film de Jérôme Clément-Wilz 

 

«Moi tant qu’il n’y a pas de kalash, je ne sors pas mon appareil» annonça un jeune photoreporter sur la route des combats libyens, avec la provocation naïve d’un adolescent. C’est en l’entendant rire de ce qui pouvait le tuer que j’ai eu l’idée de faire ce documentaire. Ce film raconte les premières expériences de guerre de jeunes reporters, Corentin Fohlen, Rémi Ochlick, et Leïla Minano. Je les ai filmés, en Libye, en Egypte, en Syrie, au Soudan ; sur le terrain, au premier contact du danger, des douleurs, mais aussi à l’hôtel, dans les avions ou les festivals, entre émotions brutes, réflexions et rigolades. Au début de l’histoire, Corentin a moins de 30 ans, il est photoreporter.

 

Il a déjà multiplié les terrains, meetings politiques, émeutes en banlieues, durant lesquels il a rencontré et s’est lié d’amitié avec d’autres newsers et reçu quelques prix. Quand on l’interviewe sur son travail de photographe, il semble perplexe, embêté parce que ses motivations ne sont pas évidentes et ne lui semblent pas honorables…

C’est avant tout un goût du voyage, une envie d’aventure et d’adrénaline qui le dirigent.

 

 

 

 

Séries/ Mini-séries.

 

- Chefs Réalisé par Arnaud Malherbe
(Saison n°1)


Avec : Clovis Cornillac, Hugo Becker, Anne Charrier, Nicolas Gob, Annie Cordy Zinedine Soualem , Etienne Chicot, Robin Renucci

 

Synopsis

Romain, un jeune serrurier de 25 ans tombé pour escroquerie, voit sa peine de prison aménagée. Son agent de probation a décroché pour lui un boulot dans les cuisines d’un grand restaurant. Le Chef, monstre sacré de la gastronomie française, réserve chaque année une place à un jeune délinquant, en souvenir de ses propres erreurs de jeunesse. C’est le début de l’éveil de Romain au monde, à l’art culinaire, à l’amour, ainsi que le récit initiatique de son intégration, d’abord difficile, puisde son ascension fulgurante…

 

 

 

 

- En immersion  Réalisé par Philippe Haim
(Saison n°1)


Avec : Patrick Ridremont, Olivier Chantreau, Emmanuelle Meyssignac

 

Synopsis

"Quand on rentre en immersion, on prend toujours deux risques : rester au fond, sans revoir la lumière ou remonter à la surface, démasqué et révélé..." Officier de police, Michel Serrero découvre qu’il a contracté une maladie neurologique irréversible. Le même jour, un de ses collègues l’humilie une fois de trop, Michel se révolte soudain et passe pour la première fois de sa vie à l’action. Il entre en immersion pour combattre Guillaume Leanour, jeune "chef d’entreprise". Trafiquant, ce dernier lance sur le marché la première drogue synthétique consommable dans une cigarette électronique.Il entre en immersion pour combattre Guillaume Leanour, jeune "chef d’entreprise".

 

- Intrusion Réalisé par Xavier Palud
(Saison n°1)

Avec : Jonathan Zaccaï, Judith El Zein, Marie Kremer, Catherine Arditi

 

Synopsis


Philippe est un pianiste qui monte. Obsessionnel et perfectionniste, il travaille dur pour préparer une série de concerts à l’opéra de Strasbourg. Son monde, jusqu’ici rangé et ordonné, se fissure le jour de ses quarante ans. Des acouphènes de plus en plus violents et des visions étranges entament sa concentration. Il est d’ailleurs le seul à entendre des notes fausses sur son piano…


Sans rien pouvoir contrôler, Philippe est en train de basculer dans un autre monde... Un monde gouverné par ses peurs, par ses angoisses et surtout par un traumatisme profond qu’il a refoulé il y a plus de 30 ans, lorsqu’il était encore petit garçon... Est-il vraiment en train de basculer dans une autre réalité, ou est-il uniquement la victime malheureuse de son délire paranoïaque ?

 

- Presque parfaites Réalisé par Gabriel Juien-Laferrière
(Saison n°1)

Avec : Virginie Hocq, Cécile Rebboah, Claudia Tagbo, Isabelle Vitari, Arié Elmaleh, Alexandre Brasseur

 

Synopsis


Presque parfaites est une série bouclée de 26 minutes. Qu’on se le dise : la vraie vie n’est pas un conte de fées ! En tout cas, pas pour tout le monde. Noémie, Angèle et Julia l’ont bien compris. Alors forcément, Charlotte, belle-soeur d’Angèle et Madame Parfaite, a le don de les énerver ! Qu’à cela ne tienne, pour nos trois copines, être une femme d’aujourd’hui est un défi qu’elles ont choisi de relever avec humour... et pas mal de ratés !

 

Déboires amoureux ou maris débonnaires, problèmes de poids ou de libido, soucis au travail et enfants ingérables, bienvenue dans un quotidien pas forcément glamour mais toujours drôle, qui nous rappelle que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs.

 

- Templeton Réalisation par Stephen Cafiero
(Saison n°1)


Avec : François-David Cardonnel, Jonathan Cardonnel, Hubert Delattre

 

Synopsis


Les frères Templeton s’installent à Two River et tentent (maladroitement) de braquer un convoi d’or.

 

 

 

 

- Virage Nord  Réalisé par Virginie Sauveur
(Saison n°1)

Avec : Judith Davis, Nicolas Cazale, Nina Meurisse

 

Synopsis


Une petite ville française, passionnée par son club de foot, est bouleversée par l’assassinat d’un supporter dans ses tribunes, en plein match. Alex, une fille du pays, revient pour enquêter au coeur de sa ville, de sa famille, et de leur passion dévorante pour le ballon rond. Alexandra Perrucci, jeune inspectrice de la DRPJ, connaît par coeur cette ferveur d’Arcanville, la cité ouvrière dont le coeur bat pour le Racing (RCA), un club de 2ème division en situation de relégable. Elle a grandi au milieu de ces passionnés. Son père est l’entraîneur du club depuis trente ans et sa soeur cadette, Mathilde, un pilier du club des supporters. Alexandra, elle, a préféré quitter cette ville et cette religion du ballon rond, dont elle considère qu’elle a brisé sa famille autrefois. Virage Nord est un polar lumineux, où se mêlent passion populaire pour le football, fonctionnement d’une petite ville et tourments intimes.

 

Welcome

 

"Le bonheur est la chose la plus simple,

mais beaucoup s'échinent à la transformer

en travaux forcés !"

 
François Truffaut

 

 

 

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Lrs InnocentesEl Clan

 

 

 

 

 

 

TempêteLes Délices de Tokyo (An)

 

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Rosalie BlumNo land's song

 

 

 

 

 

 

La saison des femmes (Parched)Julieta

 

 

 

 

 

Chala, une enfance cubaine (Conducta)Red Amnesia

 

 

 

 

 

 

Toni ErdmannTruman

 

 

 

 

 

 

Le fils de Jean

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.....

 

 

 

 

 

 

Frantz

 

 

 

 

 

 

Juste la fin du mondeAquarius

 

 

 

 

 

 

 

Une vie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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..Mon Fils - Eran Riklis..Gente de Bien.La Maison au toit rouge.La Tête Haute.Une Femme Iranienne "Aynehaye Rooberoo". Facing Mirrors.Une seconde mère "Que Horas Ela Volta ?".Mustang.La Belle saison.Aferim !.La dernière leçon.Ni le ciel ni la terre.Les chansons que mes frères m'ont apprises.Fatima...Mia Madre

 

 

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Pandora "Pandora and the Flying Dutchman".Umberto D.La chevauchée des Bannis.Loin du Paradis.Une journée particulière.Le procès de Viviane Amsalem "Gett".Tout ce que le ciel permet.

 

 

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