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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 14:03

 

 

 

Pour découvrir Edmée de Xhavée, cliquez Ici.

 

 

 

Paru en janvier 2015. Aux Editions Chloé des Lys.

 

 

Les Promesses de demain

 

Les promesses de demain.

Une série de nouvelles signées par Edmée de Xhavée.

 

Tout en me délectant de l'écriture, de la richesse du vocabulaire de la précision des descriptions, des images sont venues pour accompagner tes mots. Mon cinéma, toujours. Alors, à tord ou à raison …

 

 

 

 

 

Dans "Les promesses de demain", le "duel" entre Agnès et Henriette m'a fait penser au film de Mankiewicz Soudain l'été dernier. Rien à voir pourtant. J'imaginais toutefois assez bien Agnès, incarnée par la sublime Elizabeth Taylor, pendant que Katharine Hepburn aurait fait une splendide, et horrible Henriette.

Après avoir terminé la lecture de "L'invitation chez le Marquis de Montbuzard" j'ai pensé à Vittorio De Sica avec ce chef d'œuvre, Umberto D. Pourquoi ? Mystère. Pour la solitude de cet homme sûrement.

Pour "Tchoupy et les Stiloboutchgo djies"  des souvenirs personnels reviennent. Meme vieux de plus de six ans, c'est comme si c'était hier

"Il neige sur le Lac Majeur" Un endroit du monde que je ne connais pas. Au travers des mots on sent la nostalgie d'une époque révolue. Des images que n'aurait pas reniées Douglas Sirk. Comme ces flocons de neige "qui ondoient au vent léger. Certains se collent aux fenêtres comme des pétales éphémères … " Toujours "mon cinéma". Cette nouvelle m'a rappelé le magnifique film de James Ivoiry. A Room With a View. Une fois encore, rien à voir, mais des images qui viennent accompagner les mots comme ces femmes qui "achètent des cartes postales et s'installent à une terrasse chauffée pour les écrire".

À la lecture de ce "Un grand pardon", je me trouvais dans un endroit de rêve. Au plus haut des montagnes, sirotant un vin chaud sur une terrasse panoramique inondée de soleil. Le ciel était magnifique. Le seul endroit où la montagne me semble supportable. Toujours besoin du grand large pour n'être prisonnier de rien.

"Asie et Marguerite" Deux femmes magnifiques. Je les aime pareillement. "Ce lui et cette elle jamais perdus mais retrouvés" … "Le présent capturerait le passé et le futur, les fondant ensemble". C'est court puissant, magique. Un magnifique cri d'amour. Point.

"Galeries Royales, Ostende". Être habité par l'absence. Toutes les couleurs de cet endroit sont dans chacun de tes mots. Un peu comme si ces personnages dataient du début des Galeries, pour contempler la vie qui est passée à côté d'eux.

"Les chinoiseries de Thérèse-Adèle Paulus". Faire barrage à l'amour, est à mon avis, lui donner toutes les chances pour qu'il éclate au grand jour.

"Un couvre-lit de vigogne" Paul et Madeleine, ou l'amour parfait. Et la sœur de la défunte qui trouve la vie étrange. Ce qui semble curieux c'est de passer à côté de ce merveilleux sentiment. Et ce "pauvre vieux" donne, par son geste, la plus belle des preuves. Rien de lâche, ni de glorieux, juste un magnifique moyen que l'on trouve quand on a plus la force de suivre sa route, privé ce celle que l'on aimée. "Ils avaient choisi leur bonheur" et la sagesse de le vivre caché.

"Lettre à une épouse" Le rêve de tout un chacun. Recevoir pareilles lettres. Quand on a ton talent pour traduire les sentiments tu donnes à l'amour les plus belles couleurs de la vie.

"Les yeux d'Isotta". Toutes les pages mettent en scène cette si belle vie italienne. Ses grandes tablées souvent joyeuses. Ses odeurs, ses couleurs aussi. Ces familles qui se retrouvent avec leurs bons et leurs mauvais pions mélangés.

 

Mille mercis pour ces Promesses de demain. J'ai aimé et le dis très sincèrement. Dans le cas contraire je me serais abstenu de tout commentaire.

 

 

Paru en février 2016. Aux Editions Chloé des Lys.

 

 

Villa Philadelphie

 

 

"De mornes repas, parfois suivis de promenades en calèche si silencieuses qu'elles enlevaient toute couleur au paysages"

 

peut-on lire dans la nouvelle publication d'Edmée de Xhavée, Villa Philadelphie.

 

Il n'en est rien pour le lecteur.

 

 

 

 

 

Tout n'est ici que saveurs quand il est question de nourriture.

Toute la beauté du décor s'impose naturellement au travers des mots.

 

Le lecteur se laisse emporter par l'histoire. Des personnages qui vont évoluer entre les années folles pour arriver aux années 60. Les phrases sont courtes. Les paragraphes tout autant. Une façon claire et percutante pour mettre, au cœur de l'intrigue, la vie de deux sœurs.

 

Un récit savamment mis en scène.

 

Des destinées quasi imposées et des non-dits viennent s'ajouter à des jalousies mesquines qui distillent un venin. Des alliances, en lieu et place de vrais sentiments.

 

Entre rancunes et jalousies, l'amour trouvera-t-il sa place ?

 

Le bonheur intervient rarement dans les apparences.

 

Fêtes somptueuses, vie mondaine, solitude implacable et décision radicale, la vie réservera bien des surprises.

Tout un monde d'hier au travers, essentiellement, de magnifiques portraits de femmes.

 

Qui est qui ?

L'une "qui n'avait pas le droit d'exister si l'autre n'existait pas davantage." Elle est celle "qui n'a pas envie de vivre en couleurs".

 

L'autre, dans les dernières pages, sera l' "Idole déchue affamée de psalmodies autour de son nom"... "L'âge avait prise d'assaut sans égards, déployant ses formes en dépassant dangereusement le stade su séduisant "rebondi". "

 

Et puis il y a Bertrande. Un second rôle, comme on les nomme au cinéma. Une personne magnifique qui ne fera qu'une brève apparition dans le roman.

Une de celles que j'affectionne particulièrement.

 

Entre être, paraître ou devenir, le chemin sera long. Savoureux, par les mots employés.

 

Une phrase du roman en conclusion.

 

"Tout un défilé d'images avait passé dans sa vie,  et il n'en avait remarqué ou retenu aucune. Le quotidien n'avait pas eu de saveur,  pas plus que sa jeunesse désormais passée."

 

Exactement ce que je ne souhaite à personne, mais qui, malgré tout, me fait penser à quelqu'un.

16 août 2013 5 16 /08 /août /2013 13:52

 

Il en irait de même du livre "Le Jardin d'incertitude" signé par Armelle Barguillet Hauteloire.

 

Pour celui-ci, j'ai pris mes précautions et l'ai commandé.


Armelle anime deux blogs, La plume et l'image, destiné d'une façon globale au  Septième Art et Interligne plus directement orienté vers ses propres ouvrages, poésies, romans, essais et livres pour enfants aussi. Mais également, voyages, ressenti, découvertes toujours enrichissantes au travers des mots.

 

C'est grâce à ses deux blogs que j'ai eu la chance de découvrir Armelle. Même si certaines idées peuvent diverger, côté cinéma, il y a un point devant lequel je m'incline, la qualité et la tournure de son écriture. Riche sans être pompeuse, elle donne un sens profond à chaque phrase pour mieux nous entraîner dans cette belle langue qui est la nôtre.

 

Après la lecture de deux de ses contes pour enfants, (Pourquoi pas ? J'y suis de plus très attaché par une belle dédicace.)

"Le petit chasseur de vent"

Un conte pour Laurence

 

Le-Petit-chasseur-de-vent.gif.Le-poisson-qui-volait-vers-

 

et "Le poisson qui volait vers le soleil"

Un conte pour Erwann

 

 

Pour la troisième fois je me laisse emporter par le dernier roman d'Armelle Barguillet Hauteloire

 

Le-Jardin-d-incertitude.gif

 

Le parcours de l'enfance à l'âge adulte d'Anne-Clémence. "Tandis qu'elle écrivait, son enfance veillait sur elle …" narre l'auteure. Dès les premières lignes, je me suis retrouvé dans les souvenirs de ma propre enfance. Celle qui m'a protégé, en tout cas. Dans une belle ferme en pleine campagne landaise. Immédiatement j'ai été attiré par l'histoire. Très différente de la mienne, mais pourtant ...

 

"Et cette couleur ne se contentait pas d'exalter, de magnifier la beauté de sa mère, elle brouillait les traits de sa grand-mère et fardait son visage d'un subtil éclat."

 

Une  phrase du roman qui me renvoie à mon passé. À ma propre histoire.

 

Tout est beau dans la première partie de ce roman. Peut-être trop. Les descriptions de la nature sont magnifiques. Quand Armelle parle de fleurs, leur parfum vous envahit. De page en page, tout sent bon comme les armoires de cette vieille ferme que j'ouvrais, pour le seul plaisir de l'odeur des bouquets de lavande séchée qui s'en dégageait. 


Une question s'est imposée. Autobiographie ou pas ?

 

 "Anne-Clémence revenait de ses vagabondages les genoux écorchés et que sa mère, trop occupée d'elle-même, ne lui accordait qu'une distraite attention."

 

Au quart du roman, les images de l'enfance s'envolent. Un premier mariage, aux couleurs d'hier et les mots deviennent plus violents. Pour tout avouer je n'imaginais pas la plume d'Armelle aussi sarcastique.

Concernant la mariée décrite par une phrase à peine assassine :

 

" … décidemment, cette toilette n'avait pour mérite que de souligner ses défauts"

 

Le marié n'est pas épargné :

 

"Le visage de Thomas trahissait son introversion, son âpreté : ses lèvres minces livraient à l'observateur la clé d'une d'une sensualité égocentrique, tandis que les narines dilatées laissaient supposer que cet homme avait le goût du pouvoir et de l'action."

 

Le ton change, devient plus acide. Presque impudent.

Le style reste cependant le même, vif et élégant. Le verbe précis et les descriptions soignées comme les décors des films de Visconti pouvaient l'être.

 

L'héroïne découvre Paris. Les premiers amours avec un certain Jean-Baptiste. Et Émilie, aussi. Une grand mère bien dans son époque qui s'impose comme par erreur pour effacer le souvenir d'une autre aïeule et les temps heureux de l'adolescence. 

 

"Bien qu'elle ait eu beaucoup d'amants, Émilie avait veillé à ne pas briser les cœurs. Ce n'était pas dans ses intentions. De plus, elle avait horreur des complications et son existence était trop bien remplie pour qu'elle perdît son temps en atermoiements."

 

Une femme qui ne se laisse pas ébranler par le malheur. En cela elle me plaît.

 

La jeune Anne-Clémence quitte Paris pour la Grande Bretagne chez un couple qui :

 

" ... appartenait à cette époque d'individus qui traversent la vie sans changer jamais, ni en bien, ni en mal, tant au départ tout a été joué à leurs dépens."

 

Elle y retrouvera ce premier amour et reviendra en France pour vivre un premier décès. Un de ceux qui font le plus mal. Injuste quand la mort vient vous enlever au cœur de la  jeunesse.

 

Le temps passe. Le mariage d'Anne-Clémence s'annonce avec celui qui fut son premier amour. À peine distillée par quelques mots bien sentis, on sent dès lors, une erreur de casting. Cette belle-famille ne rentre pas dans les cases de celle de l'héroïne très attachée aux traditions d'hier. À un certain paraître également.

 

Une belle-mère qui "arborait ce jour-là ... la panoplie dont s'affuble une femme sans goût lorsqu'elle cherche à en avoir."

 

L'auteure laisse paraître dans ses mots un certain désenchantement. La scène du mariage est drôle et cruelle à la fois. Il n'y a déjà plus d'amour. Pour l'héroïne ...

 

"C'est sans excitation qu'elle envisageait une existence dont elle avait épuisé l'ivresse et une condition qui, dorénavant, excluait l'interdit."

 

À quelques exceptions près, les personnages nombreux semblent presque tous animés des mêmes volontés. Réussir et paraître. En cela l'évolution de la mère, une certaine Marie-Liesse est particulièrement intéressante et bien sentie. Une très belle femme plus occupée à paraître qu'à être véritablement. Dominée, par facilité par un mari pour commencer elle découvrira, sans le décider elle-même, et comme par erreur, le cinéma de Carl Dreyer, Kurosawa ou Alfred Hitchcock.

 

"Grâce à ce support de la chose écrite, le vécu prenait sens"

 

Il faudra l'écriture, dans laquelle se plongera Anne-Clémence, pour que des souvenirs douloureux enveloppent une mère au physique parfait, d'une ombre cruelle et défigurant à jamais une apparence trop travaillée. Plus question des " Sfumatos du Vinci". 

 

Au travers des mots se révèlera une de ces souffrances que les enfants qui ne sont pas le fruit de l'amour, porteront toute leur vie comme un fardeau.

 

"D'ailleurs, pour Monsieur et Madame, l'anniversaire d'Anne-Clémence était comme un jour de deuil ..."

 

Définitivement c'est la fin d'une époque. Même les couleurs qui ont baigné les presque cent cinquante premières pages du roman s'altèrent. Il est question de divorce, de trahison et surtout du plus horrible, d'intérêt financier. 

 

"Et il n'était pas impossible, s'il savait rassurer le père et s'éloigner de la famille sans faire de vague et avec autant de discrétion qu'il avait mis d'outrecuidance à s'en approcher, qu'il obtienne une gratification en espèces sonnantes et trébuchantes qui confirmerait, une fois de plus, son habileté à user des autres à son profit."

 

Une autre partie du roman, qui m'a touché au plus profond et sans en dévoiler une seule ligne. La lettre "testament" d'Émilie.

 

La fin se dessine mais promet encore de beaux rebondissements. Il est, une nouvelle fois, question d'un entretien "à l'ombre du catalpa". Les évènements se déchaînent mais la nature semble vouloir rester là, en dépit de tout,  bienveillante. 

 

Le roman plonge également l'une des principales protagonistes dans le saphisme. Sans aucun point commun entre ces deux femmes l''une des deux m'a immédiatement fait penser à Mrs. Danvers, dans le film d'Alfred Hitchcock "Rebecca".

 

Un autre personnage du roman est en véritable coureur de jupons, et choisit Julie, sa belle-sœur pour maîtresse. Reconnaissons lui quelques excuses.

 

"Il faut avouer que l'élève était douée. Julie était faite pour le plaisir autant que sa sœur pour la maternité".

 

"Il n'était clair qu'avec les chiffres : pour le reste, il préférait entretenir les paradoxes"

 

Une nouvelle ère s'annonce et déja pointent les regrets et l'amertume.

 

Un dîner avec un certain Bartholomeo m'a fait penser à Sophie Von Essenbeck dans "Les Damnés" de Visconti, au moment même de son union avec Frederick Bruckmann, lorsque celle-ci salue d'une façon distraite et habituelle, telle une hôte qui se veut respectable jusqu'à la fin, les seuls invités de la noce conviés par son fils.

 

"C'était la mémoire infinie de la chose écrite que le vie parcourt encore, au point que dans le mouvement des phrases se perçoit jusqu'au bruit du pas attendu, jusqu'au vacillement de l'ombre aimée"

 

Comme pour repousser l'échéance fatale,  le roman veut encore nous donner quelques espoirs. Arrêt à Florence et ses trésors avec " .... la conviction que l'éternité est déjà inscrite dans l'éphémère".

 

Nostalgie quand tu nous tiens, avec un petit tour rue de Rivoli et l'arrêt obligatoire chez Angelina. Il est également aisé de reconnaître les goûts d'Armelle dans sa façon de parler des nymphéas de Monet.

 

Et le temps qui continue de filer.

 

"Il semble que vous ne vous soyez pas aperçue que mai 1968 avait changé bien des choses. Vous vivez dans une tour d'ivoire et l'univers que vous décrivez, n'est plus tout à fait celui d'aujourd'hui"

 

Le roman nous entraîne des bords de Loire à un Paris récent. D'un séjour en Grande Bretagne à des souvenirs de voyages en Italie.  Quelques références à Pau. À Toulouse aussi.  Il a été question d'Erik Satie, de Gabriel Fauré de son  Requiem plus particulièrement. De La Tristesse de Duparc, à deux reprises, ou encore des études symphoniques de Schuman et de la toccata de Bach à Notre Dame.

 

"Quand je suis allé à Venise,

cela me paraissait incroyable et si simple que mon rêve fut devenu mon adresse"

 

Si Proust est bien mentionné, il est aisé de sentir son influence du début à la fin du roman.

 

Sa pensée accompagne la plume d'Armelle tout au long de son Jardin d'incertitude.

 

Un beau roman qui mériterait d'être lu par le plus grand nombre, en tous cas par tous les amateurs d'une belle écriture.

15 août 2013 4 15 /08 /août /2013 23:00

 

Je l'avoue volontiers, je suis incapable de lire d'une traite, de la première à la dernière page un livre dans lequel je me sens bien. Je m'arrête, reviens en arrière. Relis plusieurs fois un même passage. Annote des phrases pour mieux en saisir le sens et me laisser pénétrer par les mots. Il fut une époque où je tentais de dessiner, en marge des chapitres, un résumé en images de ce que je venais de découvrir. Il est donc inutile de me prêter un livre dans lequel je me sentirai bien. Vous le récupèreriez "en miettes".

 

Je n'exagère en rien. Très récemment j'ai commandé un livre.  Le même qui m'avait prêté. Impossible de le rendre, compte tenu de l'état dans lequel je l'avais mis.

 

Deux écrivaines découvertes avec bonheur via nos blogs respectifs.

 

Armelle Barguillet Hauteloire. Cliquez Ici.

 

Edmée De Xhavée. Cliquez Ici.

 

 

 

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"Le bonheur est la chose la plus simple,

mais beaucoup s'échinent à la transformer

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François Truffaut

 

 

 

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Chala, une enfance cubaine (Conducta)Red Amnesia

 

 

 

 

 

 

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